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10/05/2010

Jusqu'au 16 juin - Exposition Hervé Courtain à la Galerie des Docks

« T'es qui toi? C'est quoi ça? », Hervé Courtain expose à la Galerie des Docks (11 quai des Deux Emanuel – Nice) jusqu'au 12 juin. L'artiste sera présent à la galeriedu lundi au samedi. Plusieurs manifestations auront lieu à la galerie pendant cette exposition :

 

Vendredi 14 mai un exposé sur les portraits du Fayoum.

Samedi 22 mai " Nuit de l'art Contemporain"

Vendredi 28 mai présentation de deux series inédites.

Vendredi 11 juin lecture de textes en rapport avec l'exposition.

 

 

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Voici, en guise présentation, un texte de Josiane Scoléri sur son travail.

 

De l'anonymat à la signature

De l' hétéronyme à l'identité

Du virtuel au réel

 

« T'es qui toi? C'est quoi ça? ». Le titre de l'exposition résume bien la démarche de l'artiste. Pour ceux qui connaissent uniquement « la Galerie virtuelle de Gaëtan Bellevue », cette exposition donne enfin l'occasion de se confronter à la matérialité du travail de ce peintre singulier, qui revendique haut et fort son statut d'électron libre.

 

Singulier, Hervé Courtain l'est déjà par son attachement à la peinture et au portrait. Il l'est encore par son choix de l'huile sur papier qui est sa technique et son support préférés, même si on pourra voir beaucoup de dessins à l'encre de Chine ou diverses œuvres aux matériaux et techniques aussi mixtes que variés.

 

Mais quelque soit la forme, l'idée est là qui taraude l'artiste et le pousse à des déclinaisons infinies.

 

T'es qui toi qui n'est pas moi?. Comment venir au bout de l'altérité? Est-il même pensable de percer ce mystère? La question de l'autre et du même, intrinsèquement mêlée à celle de l'un et du multiple constitue l'articulation profonde d'une œuvre traversée toute entière par la fulgurance de ce doute. Le recours à la série, souvent longue (37 portraits, 2 x 24 sabliers, 60 autoportraits, 81 crânes,, etc...) prend alors tout son sens. La démultiplication de l'objet, à chaque fois ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, questionne notre regard et nous amène nécessairement à déplacer notre point de vue.

 

Là aussi intervient la singularité d'Hervé Courtain qui ne nous demande pas pour autant d'adopter ce qui serait le point de vue de l'artiste. Il nous convie plutôt à une déambulation savamment orchestrée – l'ordre de présentation et l'accrochage participent aussi de l'œuvre – et nous confronte à une multitude d'interprétations comme autant de possibles. Notre regard glisse d'une pièce à l'autre et de ce glissement même naît la sensation d'un mouvement qui n'aurait en fait aucune raison de s'arrêter.

 

De ce point de vue, les diaporamas sur écran renforcent encore la démarche de l'artiste qui sait se servir de l'outil numérique pour l'intégrer avec cohérence dans son propos. Le défilement en boucle aléatoire permet de repousser dans les limbes la question du terme de la série.

Nous sommes d'ailleurs généralement saisis par un sentiment de quasi surprise lorsque nous arrivons au bout d'une des séries exposées. Pourquoi, comment s'arrête-t-elle? Ces questions demeurent très mystérieuses et il serait intéressant d'entendre l'artiste sur ce point. Car au fond il semble bien que chaque série engendre la suivante dans une continuité qui les relie en profondeur au delà de l'existence autonome de chaque œuvre. Ces facettes démultipliées comme dans un jeu de miroirs finissent par créer une chorégraphie à laquelle, volens, nolens, nous participons et qui vise à la fois à nous révéler des mondes inconnus et/ou à nous faire douter de notre propre perception.

 

Ce qui nous amène directement à la deuxième question exprimée dans le titre : « C'est quoi ça? » Question qui renvoie de fait à l' Art Contemporain, la plupart du temps si difficile d'accès pour ses contemporains mêmes. Reconnaissons que, plus souvent qu'à son tour, il nous est arrivé de réagir ainsi face à une œuvre contemporaine :  Kézaco? » Entendons-nous bien. Il ne s'agit pas de regretter des temps voués à la reproduction et à la ressemblance du supposé réel. Il s'agit plutôt de tirer partie de notre perplexité face à un objet insaisissable pour remonter à une autre question, encore plus fondamentale : À quoi ça sert ?

 

Et nous voici au cœur de la problématique de toute création artistique. Quel est le rôle et la fonction de l'art? Que se passe-t-il pour nous en tant que personne face à une œuvre d'art qui contient toujours une part d'énigmatique? Et en filigrane :que se passe-t-il collectivement pour une société face à ses artistes, ceux qu'elle reconnaît, ceux qu'elle rejette et ceux qu'elle ignore ?

 

L' œuvre d' Hervé Courtain contient toutes ces questions en germe et ce n'est pas son moindre mérite.

 

Au delà des concepts et de la structure des œuvres, un mot encore sur la peinture elle-même.

 

L'huile permet à l'artiste de faire chanter ses couleurs et donne une présence forte à des pièces rendues encore plus vulnérables par le support papier. Hervé Courtain qui a longtemps privilégié une palette réduite à trois couleurs (+ un noir et un blanc) manie la nuance avec délicatesse et brio. C'est en soi suffisamment rare aujourd'hui pour mériter d'être souligné. Dans la dialectique revendiquée par le peintre entre perfection et imperfection, l'huile sert en quelque sorte de vecteur qui maintient en tension ces deux pôles.

 

Il en ressort une peinture dont nous sommes étonnamment proches par son inventivité et son entêtement et surtout par cette volonté d'affirmer la maladresses comme expression intrinsèque de la condition humaine. Nous ne sommes écrasés par l'œuvre d'Hervé Courtain. Nous sommes émus, touchés dans notre humanité même d'êtres imparfaits et dans notre rapport nécessairement tortueux au monde.

J.Scoleri

06/05/2010

7 mai - La chine est encore loin

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23/04/2010

Un festival c'est trop court

Dix ans, cela se fête pour Un festival c'est trop court, la grande fête du court métrage à Nice organisée par nos amis de l'association Héliotrope. Dix années, un chiffre rond qui appelle un événement hors du commun, un temps de bilan, de réflexion sur le travail d'une décennie.

Cette année, plus encore que les autres, Regard Indépendant se tiendra aux côtés d'Héliotrope pour enfoncer le clou de la création régionale :

 

    • Programmation avec la sélection des films composant les programmes Courts d'ici consacrés à la production régionale de courts métrages.

    • Participation à la journée professionnelle Nice Short meeting (en français dans le texte) du samedi 24 avril au MUSEAAV avec rencontre auteurs-producteurs, tables rondes et ateliers.

    • Soutiens à la programmation spéciale de Ma vie avec ATTAC 06 de notre ami Xavier Ladjointe le samedi 24 Avril au Théātre de la photographie et de l'image à 16h00.

    • Présentation, c'est une première, d'Aux ponchettes, le film d'Eric Quéméré le vendredi 23 avril à 16h00, bibliothèque Louis Nucéra dan le cadre du programme

Ce ne sera, évidemment, que l'une des nombreuses facettes de cette semaine intense dont vous pouvez découvrir le programme intégral sur le site : http://www.nice-filmfest.com/2010/

 

Courts d'ici 1

Samedi 24 avril – 17h30

Cinéma Mercury

Des enfants dans les arbres de Bania Medjbar (France, 2009, fiction, 25’)
La baie du renard de Grégoire Colin (France, 2009, fiction, 12’)
L’ignorance invisible de Emilie Aussel (France, 2009, fiction, 21’)
Nice de Maud Alpi (France, 2009, fiction, 25’)

 

 

Courts d'ici 2

Mercredi 21 avril – 18h00

Auditorium du MAMAC

Samedi 24 avril – 13h30

Auditorium du MAMAC

Park de Thierry Espasa (France, 2009, fiction, 14’)
La vieille dame qui ne souriait plus de Guillaume Levil (France, 2009, fiction, 12’)
Moussa de Sofiane Belmouden (France, 2009, fiction, 24’)
Big game de Brigitte Bauer (France, 2009, documentaire expérimental, 5’)
Corsicaland de Gérard Guerrieri (France, 2009, fiction, 14’)
Stupéfiant de Christophe Lebon (France, 2009, fiction, 4’)
Portrait de famille de David Viellefon (France, 2009, fiction, 15’)

 

 

Courts d'ici 3

Vendredi 23 avril – 18h00

Auditorium du MAMAC

Samedi 24 avril – 15h30

Auditorium du MAMAC

La señorita de Audrey Gini Ravel et Federico Escartin (France, 2009, fiction, 19’)
Baby boom de Thierry Lorenzi (France, 2009, fiction, 8’)
Entre chiens et loups de Marie Chenet (France, 2009, documentaire, 24’)
L’arène de Chrystophe Pasquet (France, 2009, documentaire expérimental, 2’)
Instinctif de Céline Tejero (France, 2009, fiction, 14’)
Xeroderma Pigmentasum de Elise Bracconi et Arnaud Tabarly (France, 2009, fiction expérimentale, 11’)

 

 

Dans la ville

Vendredi 23 avril – 16h

Bibliothèque Louis Nucéra

Filmer la ville comme un espace de vie pour les hommes, du matin au coucher du soleil. Filmer la ville comme un prétexte pour revenir aux sources, et se plonger dans ses souvenirs. « Un film, c’est tout sauf du vrai » s’interroge le cinéaste d’Aux Ponchettes .

Aux Ponchettes de Eric Quéméré (France, 2009, documentaire, 48’)
« Aux Ponchettes » est le journal filmé d’un étudiant en cinéma qui se rend à Nice pour y chercher les décors de « La Baie des Anges », de Jacques Demy. C’est aussi pour lui l’occasion de renouer avec son histoire familiale.

Variation(s) de Fabien Lamy-Chappuis (France, 2009, documentaire, 20’)
Matinée. La Ville s’éveille. Elle s’éclaire pour accueillir les Hommes. Plus tard, la Ville bat au rythme des déambulations des Hommes. Quand la ville s’éteint, l’Homme apaisé s’emmure et ne laisse derrière lui que des traces. La nuit tombée, la Ville se lave de ces souvenirs.

 

Ma vie avec ATTAC 06

Samedi 24 avril – 16h

Théâtre de la Photographie et de l’Image

Un film de Xavier Ladjointe (France, 2009, documentaire, 1h24)

J’étais venu faire les soldes à Nice parce que les soldes, c’est bien, c’est la consommation et la consommation, c’est des emplois…
et je suis tombé sur ce défilé d’alter-mondialistes dans le cadre du Forum Social Mondial 2008. Je me suis approché et j’ai fait la connaissance de ce groupe ATTAC 06 (Association pour la Taxation des Transactions financières pour l’Aide aux Citoyennes et citoyens pour le 06)…
Ce sera pour moi le point de départ d’une remise en question de l’idée que je me faisais de notre société.

 

Nice Short Meeting

MUSEAAV – samedi 24 avril

Dans le cadre de la 10ème édition du festival du court métrage de Nice, Héliotrope , La Galette Production et Regard Indépendant organisent le 1er Nice Short Meeting, journée forum de rencontres autour de la production cinématographique en Région. Durant cette journée nous auront au programme ; tables rondes, ateliers, démonstrations, rencontres avec le public et entre professionnels de l’audiovisuel.

Table Ronde : “la diffusion du court métrage, de Clermont-Ferrand… à Nice”.
MUSEAAV 16H00 à 18H00


Modérateur : Vincent Jourdan (Président de Regard Indépendant)

Intervenants :
Philippe Germain (Directeur de l’Agence du court métrage)
Georges Bollon (Festival de Clermont-Ferrand)
Christophe Chauville (Conseiller artistique – Festival de Brest)
Marc Ripoll (Festival d’Aix-en-Provence)
Christophe Liabeuf (La Caravane ensorcelée)
Gaëlle Milbeau (Festival d’Aubagne)

 

Dix années de festival pour Héliotrope à Nice, dix années qui correspondent à la première décennie du nouveau siècle. Comme tous les cinéphiles se sont livrés à l'exercice sur les longs métrages, l'occasion est belle de se pencher sur dix ans de diffusion du court-métrage. Le temps a semblé s'accélérer au rythme des évolutions du monde et des technologies. 2000 semble si loin.

Tout au long des années 90, de grands festivals, d'ambitieuses associations, la multiplication des chaînes de télévision et l'émergence de politiques régionales en faveur de la création ont contribué à structurer le monde du court métrage. Des auteurs ont émergé aujourd'hui reconnus (Éric Zonca, Delphine Gleize, Stéphane Brizé, Pascale Ferran, Gérald Eustache-Mathieu, François Ozon, Marina Van, etc.). A travers tous ces films ont aussi émergé des acteurs et actrices, des producteurs et des techniciens. L'utilité du court métrage et le travail indispensable des structures qui en font la promotion est indiscutable.

Pourtant, les années 2000 ont vu bien des bouleversements dont on ne mesure peut être pas bien encore l'importance : explosion d'Internet, évolution des politiques territoriales, apparition de nouveaux modes de diffusion et de nouveaux supports (le portable par exemple), remises en cause du statut des intermittents du spectacle puis menaces sur le bénévolat, volonté de professionnaliser les associations, voire de les contrôler, n'en jetons plus, il y en a trop.

Le cinéma lui-même a beaucoup évolué, avec la mainmise des grosses productions sur les réseaux de diffusion, le désengagement des télévisions, les difficultés des cinémas « indépendants ». Quelle place reste-il encore pour le court métrage et quel avenir ? Quel sera son visage demain ?

Pris dans le mouvement, nos structures continuent de rendre compte du dynamisme et de la variété de la création. Elle prend des visages de plus en plus divers comme en atteste par exemple l'essor des programmes Labo à Clermont-Ferrand ou l'émergence inédite de personnalités sur Internet qui posent de nouveaux défis (diffusion, modèle économique, marchés, conservation).

La table ronde que nous vous proposons, avec quelques unes des personnalités les plus compétentes et sensibles en la matière n'a pas la prétention de répondre à ces question (qui le pourrait ?) mais de prendre deux heures pour y réfléchir et tenter de dégager un état des lieux et quelques pistes.

20/04/2010

Bande annonce

14/04/2010

Les dix ans d'Un festival c'est trop court

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Cliquez sur l'affiche pour accéder à l'ensemble de la programmation et des informations

25/03/2010

27 et 28 mars - Cinémator à Carros

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24/03/2010

25 mars - Cinéma et débat au Rialto

Jeudi 25 mars 20 h 00 au cinéma Rialto (4 rue de Rivoli – Nice) ADN et RESF06 proposent Harragas, un film de Merzak Allouache en présence de l'acteur Abdelatif Ben Hamed


Mostaganem, à 200km des côtes algériennes. Hassan,un passeur, prépare en secret le départ illégal d'un groupe d'immigrants vers les côtes espagnoles.

Dix"brûleurs" participent au voyage. Harragas est l'odyssée de ce groupe rêvant à l'Espagne, porte ouverte sur l'Eldorado européen.


 

Film soutenu par RESF et l'association Coup de soleil
Tarifs habituels réduit  6,50€ et tarif plein 7,50 €

ADN - Association pour la démocratie à Nice
http://www.adn-nice.org
adn@adn-nice.org
06.03.51.28.32 - 04.93.13.49.78

18/03/2010

A partir du 19 mars - Exposition Roxane Petitier

Mouvements Anthropomorphiques, exposition photographique de Roxane Petitier

Vernissage : vendredi 19 mars à 18h00 Musée de Paléontologie humaine de Terra Amata avec Mars aux Musées

L'exposition (20 mars au 19 avril) :

Performeuse, chorégraphe et photographe,  l'artiste présente une série de diptyques issus d'une réflexion sur la corporéité de l'objet. S'inspirant de la collection d'objets préhistoriques du Musée de Terra Amata, la série propose un dialogue entre objets d'hier et corps d'aujourd'hui dans un face à face inattendu. L'objet, si inanimé qu'il soit, par sa fonction réelle ou supposée, son identité formelle et esthétique, sa mémoire intrinsèque du corps, possède toutes sortes de mouvements... anthropomorphiques, révélant les multiples façons d'appréhender et d'imaginer l'évolution de l'humanité .

La performance In Situ (vendredi 19 mars à 19h00) :
Pièce chorégraphique pour six danseurs performers (amateurs ou confirmés), un musicien (guitare acoustique, voix, space echo et sampleur) et le musée de Terra Amata : Un groupe d'homo contemporaneis accomplit divers rituels sociaux à travers le musée, invitant à la danse et à la redécouverte de l'architecture du lieu... Performance déambulatoire et interactive, pouvant être vue/vécue depuis différents espaces.

Conception et mise en scène : Roxane Petitier.
Musique : Chris Farmer.
Avec : Chrystelle Fino-Tanza, Mathias Girard, Laure Jamme, David Loget, Daniel Pina et Lisie Philip.
OU?
Musée de Paléontologie humaine de Terra Amata.
25, bd Carnot 06300 Nice. Tél. : 04 93 55 59 93
Entrée libre. Ouvert du mardi au dimanche de 10h00 à 18h00 sans interruption.

16/03/2010

17 mars - All tomorrow parties

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15/03/2010

Sauvons le jazz à la Cave Romagnan

La cave Romagnan a des problèmes et risque de se voir rapidement interdire toute activité musicale. Regard Indépendant, qui a été accueilli avec chaleur lors des Rencontres Cinéma et vidéo en fin d'année depuis plusieurs années se désole d'apprendre ces nouvelles et affirme son soutien à cet endroit rare et précieux à Nice. Une pétition circule pour demander le soutien de la Ville :


Pétition à M Christian Estrosi, maire de Nice concernant la défense et la pérennité des concerts de jazz à la Cave Romagnan (22 Rue d'Angleterre - 06000 Nice)

Nous, soussignés, visiteurs assidus ou occasionnels de la Cave Romagnan, apprenons avec consternation la probable fin des concerts de jazz en ce lieu, qui depuis plus de 8 ans s’est consacré à la défense et à la promotion de cette musique et de ses musiciens.


Outre sa bibliothèque autogérée, ses expositions mensuelles, ses soirées slam et poésie, La Cave Romagnan organise depuis 2001 des soirées jazz où les meilleurs musiciens de la Côte d’Azur et d’ailleurs (USA, Québec, Angleterre, Hollande, Belgique, Allemagne, Suisse, Italie, Espagne…) viennent se produire pour le plus grand plaisir des amateurs, toutes classes, toutes origines et cultures confondues. Ce phénomène est devenu au fil du temps un rendez-vous magique, un lieu mythique, un temple incontournable pour tous les amoureux de bonne musique, de culture et de convivialité.


Or sous la pression incessante d’un voisin irascible, La Cave se voit interdire toute activité musicale.


Nous rappelons que :
- les soirées jazz n'ont qu'une fois par semaine, le samedi soir.
- elle se terminent à 23h (au lieu de 0h30 pour tout E.R.P.)
- le limiteur de pression acoustique est réglé à 103 dB en crête (au lieu des 115 en norme nationale)


Mr. Le Maire, vous êtes intervenu à plusieurs reprises dans des affaires culturelles (Escurial, Cinémathèque, anciens abattoirs, etc.), nous comptons sur vous pour trouver une solution et permettre à la Cave Romagnan de poursuivre ses concerts de jazz dans les meilleures conditions.


A ces fins, nous serions heureux de pouvoir vous entretenir de ce problème dés que cela vous sera possible et vous en remercions par avance.


Veuillez agréer, Monsieur le Maire de Nice, l'expression de nos salutations distinguées.

 

Signer la pétition


Les 24 et 27 mars, des concerts de soutien sont organisés à la Cave Romagnan, vous êtes conviés à vous y rendre en nombre pour faire valoir notre désir commun de sauvegarder ce lieu ! Venez nombreux ! C’est au 22 rue d’Angleterre à Nice.

Mercredi 24 mars à 20h, concert de soutien bénévole avec le Collectif Miles Davis (Fred D'OELSNITZ : Clavier + Trompette, Jean Luc DANA : Basse, Claudio NDJOCK : Percu, Daniel DRAY : Batterie, Jo GRITELLA : Guitare, Laurent VALETTE : Harmonica, Patrick GITZARDI : Guitare, Selim NINI : Saxes)

Samedi 27 mars à 19h, concert + déambulation pour commémorer «l’enterrement festif» de la Cave Romagnan. (Départ à 18h00 en face de la Cave Romagnan)

Le communiqué officiel (cliquer ICI pour télécharger)

13/03/2010

18 mars - Courts métrages et concert au Volume

Jeudi 18 mars à partir de 20H00 au Volume – 6 rue Defly 06000 NICE

Une soirée Regard Indépendant : Apero + Courts métrages + Des suédois dans les bois + concert General Sucker/ PAF : 2€

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Avec l'approche du printemps, l'association Regard Indépendant vous convie à une nouvelle soirée au Volume en collaboration avec La Source. Au programme, le première présentation des versions numériques de notre collection A la vie, à l'amour, à la folie , neuf courts métrages griffés Roxane Petitier, Nicolas NSB, Philippe Frey et Elisabeth Vissio, Tina Von Traben et Uwe Skrabs, Feyyaz et Nicola Richter, Marcel Belledin, Cédric Coppola et Antoine Banni.

En exclusivité, ramené tout droit du festival de Clermont-Ferrand, Skinnskatteberg est un documentaire suédois et musical de Jesper Ganslandt sur une musique de Erik Enocksson tout à fait étonnant.

Musique pour terminer la soirée avec le groupe General Sucker en concert.

 

20h15 A la vie, à l'amour, à la folie

Venez découvrir les versions numériques inédites des courts métrages en super 8 tourné monté de notre nouvelle collection. Le détail sur la blog de Regard Indépendant.

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21h 15 Skinnskatteberg

Suède / 2008 / documentaire 30 min.

Un film de de Jesper Ganslandt

Musique de Erik Enocksson

L'aube se lève sur les bois, dans le Västmanland. Un petit groupe de personnes s'affairent dans le calme de la forêt. Un piano est posé sur la mousse. Un orgue est installé à côté. Le chœur prend place. Erik Enocksson entame sa prestation au moment où la pluie commence à tomber sur Skinnskatteberg. Il fait nuit lorsque le concert prend fin.

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Le Myspace d'Erik Enocksson : http://blogs.myspace.com/erikenocksson

 

22h00 General Sucker en concert
Un grand mix musical (rock, old funk 70, expérimental, classique, flamenco...) concocté par Nadir, Guitariste/bassiste & compositeur. Il a joué précédemment dans des groupes aussi variés et différents que Préparation H (1990-2000), Chinaski (1997-2000), Moho (2004-2006) ou Humulus Lupulus (2006-2008). Amateurs de surprises et d'expériences inédites, ce concert est pour vous !

Le Myspace de Nadir : http://www.myspace.com/egoflyers

 

Le Volume

5, rue Defly

06000 Nice

Adhésion obligatoire à l'association La source : 2€

PAF pour la soirée : 2€

Visuel : Roxane Petitier (sur Myspace)

24/02/2010

Appel à courts métrages : festival Cinémator

Cinémator

Appel à candidatures

 

Cinéactions organise 1er festival de courts métrages grand public (réservé aux non professionnels) les samedi 27 et dimanche 28 mars 2010 à Carros, en partenariat avec la ville de Carros, le Département, la Région et l’association de BD Kaizoku-Logos, DK Productions.

 

4 sections sont prévues : grand public, étudiants et lycéens de formations de cinéma, films d’animation et flash, films réalisés par téléphone portable.

 

Pour chaque section, les films sélectionnés seront diffusés dans le cadre d’un programmes d’une heure trente environ. Les films ne devront pas dépasser une durée de 13 minutes (hors générique).

 

Le concours est réservé aux non professionnels résidants en PACA.

 

Un jury composé de cinéphiles et de personnalités désignera les lauréats.

 

4 prix d’une valeur de 200 euros chacun récompenseront les meilleurs films dans chaque catégorie.

 

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Samedi 27 mars sera consacré aux films d’animation. Pour compléter la programmation un festival de BD est prévu dans le hall de la salle Juliette Gréco. En soirée à 20 H 30 il est également prévu la diffusion d’un long métrage d’animation en avant première.

 

Vous avez ou vous comptez réaliser un court métrage de fiction ou un documentaire. Vous pouvez dès à présent présenter votre candidature en vous inscrivant à partir du site.

 

www.cinemator.cineactions.com.

Plus de renseignement : contacts@cineactions.com

Tel. 06 63 49 46 81

Clôture des inscriptions le 8 mars 2010.

23/02/2010

22 au 28 février - Festival CSF au Mercury

Lundi soir s'est ouvert le 8ème Festival annuel de Cinéma sans Frontières. Jusqu'à dimanche, vous pourrez découvrir chaque soir un film différent précédé d'une présentation et suivi d'un débat au cinéma Mercury, 16 place Garibaldi à Nice. La thématique de cette année : Quand le 7eme art se filme. Pour découvrir le programme, cliquez sur l'affiche ci-dessous.

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14/02/2010

21 février - Luc Moullet à Carros

Dimanche 21 février à 17 h 30 salle Juliette Gréco à Carros
Séance exceptionnelle proposée par Cinéactions en partenariat avec DK Productions et Culture et Cinéma.
La terre de la folie film de Luc Moullet en présence du réalisateur qui échangera avec les spectateurs.
Tarif normal 5 € Tarif réduit 4 €
Film  français. Documentaire. Durée : 1h30 min

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" L'arrière-petit-neveu du bisaïeul de ma trisaïeule avait tué un jour à coups de pioche le maire du village, sa femme et le garde-champêtre, coupable d'avoir déplacé sa chèvre de dix mètres. Ça me fournissait un bon point de départ... Il y a eu d'autres manifestations du même ordre dans la famille. "
Originaire des Alpes du Sud, Luc Moullet, avec son sérieux imperturbable et son humour décalé, étudie les causes et les conséquences de ces phénomènes psychiques locaux...

La Terre de la folie a été présentée en 2009 au Festival de Cannes dans le cadre de la Quinzaine des Réalisateurs. Il a également été sélectionné par le Festival du Film Grolandais de Quend, où Luc Moullet a remporté le Prix d'interprétation masculine.

Iconoclaste, hors normes, tels semblent être les termes qui définissent le mieux l'œuvre de Luc Moullet. Après des débuts de critique aux Cahiers du Cinéma au milieu des années 50, il passe à la réalisation au début des années 60 notamment avec Terres noires (1961), alternant courts et longs métrages, documentaires et fictions. Son dernier film de fiction Le Prestige de la mort en 2007 a été encensé par les critiques et par le public.

Contact :
Charles Scibetta
Vice président de Cinéactions
Tel. 06 63 49 46 81

09/02/2010

18 février - Ciné débat au Rialto

Jeudi 18 février en avant première, un ciné débat proposé par ADN et l'association Polychromes qui animera le débat, autour du film A single man de Tom Ford avec Colin Firth et Julianne Moore au cinéma Rialto à 20h00.

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Los Angeles, 1962.
Depuis qu'il a perdu son compagnon Jim dans un accident,George Falconer, professeur d'université Britannique, se sent incapable d'envisager l'avenir. Solitaire malgré le soutien de son amie la belle Charley,elle-même confrontée à ses propres interrogations sur son futur, George ne peut imaginer qu'une série d'évènements vont l'amener à décider qu'il y a peut-être une vie après Jim.

 

Tarif réduit pour les adhérents AdN et Polychrome sinon tarifs habituels

 

Cinéma Rialto - 4 rue de Rivoli-Nice

AdN - Association pour la démocratie à Nice

http://www.adn-nice.org

adn@adn-nice.org

06 03 51 28 32

04 93 13 49 78