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18/09/2018

Les 20 ans du 7Off

Joyeux anniversaire ! Toute l'équipe de Regard Indépendant est ravie de fêter les vingt ans du 7Off en se joignant à la soirée du samedi 22 septembre 2018 au 109. Nous apporterons, fidèles à notre goût de l'argentique, une programmation de courts métrages issus de de nos collections en super 8 tourné monté. Quel meilleur fil rouge pour l'occasion qu'un petit grain de folie ? Nous vous proposerons de découvrir, venus d'horizons divers, de petites œuvres pétillantes et inventives, un peu barrées aussi, avec de la couleur et du noir et blanc, de l'humour et de l'amour, de la fantaisie et de l’étrange, des enfants et et des animaux, le tout avec la magie inimitable de la projection argentique.

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Cette belle fête commencera à 18h00 au 109 - Pôle de cultures européennes (89 route de Turin) pour se prolonger jusque 23h00. Notre petit programme fera partie d'une carte blanche à laquelle participent Héliotrope et Il était un truc... et la soirée comprendra également vernissages, concert de Maurice Turizer et un lightshow d'Emmanuelle Nègre. tout le programme sur le site du 7Off :

Cliquer ici

 

Un grain de folie, projection en super 8 avec bande sonore synchronisée en direct, durée totale : 20 minutes environ.

 

Zwinkern - Clin d'oeil de Marcel Belledin. Avec Dejan Rakas, Katrin Leuthe et Rainer Knepperges - En partenariat avec Televisor et Unlimited (Köln—Allemagne) - Collection 2009
"A la vie, à l'amour, à la folie"
L'histoire d'une ville dont les habitants retrouvent le sourire par un petit miracle et s'infectent mutuellement, cependant...

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Please de Cate Barron et Xavier Pasturel Barron – Avec Cate Barron - Collection 2012 « Interdit(s) ».
3 personnages.
1 journée...
toujours la même.

 

Il était un petit navire... de Antoine Banni - Scénario : Collectif Petit-Ebe - Conception bande son : Antoine Banni - Avec Angela de Champêtre, Mathieu Zino, Cécile de Strasbourg, Lætitia H.-B., Lucia Calumetto, Marie B. Lacantine, Pascal Gro-Piratus - Collection 2010 "La première fois".

Madame Hortense n'a pas de chance ; pour la première fois qu'elle achète des nains de jardin, faut que ce soit des loufdingues qui ne pensent qu'à taquiner ceux du voisin.

 

Ils sont partout de Romulux - En partenariat avec la Petite Marchande de Films – Collection 2017 « Frontière ».

ILS SONT PARTOUT ! Vous croyez qu'ils se cachent ? Ils sont là près de vous, aux aguets. Mais qui sont-ils ?

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Entreprise libérale de Violaine Bavent et Timothée Fallet – Avec Nicolas Dégénétais, Didier Bonnaire, Laura Jane Mee et Leslie Lavielle – En partenariat avec La Petite marchande de Films - Collection 2012 « Interdit(s) ».

Le chef d'une entreprise est surpris par le caractère indécent de ses trois secrétaires.

Don Quichotte dou Paioun du Radis Calciné – Musique : Jérôme Barbier – Avec Romain Magne, François Guillaumet, Christel Giumelli, Teresa Maffeis, Guy Ouillon, Pierre Remy Pichon et Nouara Aci - Collection 2014 "Ville folle".

Dans un village sur les berges du Paillon, dont je ne veux pas me rappeler le nom...

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30/10/2017

Les 19es Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Toute l'équipe de Regard Indépendant a le plaisir de vous convier à la 19e édition des Rencontres Cinéma et Vidéo qui se déroulera du jeudi 30 novembre au samedi 2 décembre au sein de l'emblématique salle du cinéma Mercury et à la BMVR Louis Nucéra.

 

L’association Regard Indépendant structure depuis plus de dix ans son travail de valorisation de la création indépendante autour de l'utilisation du Super 8, par goût et par plaisir. Treize collections, plus de cent vingt films en sont issus, réalisés par une centaine de réalisatrices et de réalisateurs.

 

Le point d'orgue de cette édition 2017 sera la présentation, le samedi 2 décembre au cinéma Mercury, de notre collection de courts métrages en super 8 sur le thème « Frontière » en présence de leurs auteurs. En parallèle, nous poursuivons l'exploration de l'utilisation contemporaine de l'argentique avec des films signés Daphné Hérétakis, Filippo Filliger, Emmanuel Desestré ou Ben Barton. Ce sera aussi l'occasion de faire découvrir les résultats de notre tout nouvel atelier de développement de super 8 noir et blanc.

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L'ouverture proposera le programme cannois de mai 2017 de nos amis anglais des Straight 8, le nouveau film de Julien Doigny venu de Bruxelles, un incroyable court métrage culte signé Jean-Pierre Bouyxou en 1968 et enfin d'applaudir un ciné-concert de Geoffrey Boulier et Emmanuelle Nègre.

 

Une large part de ces trois journées sera, comme à l’accoutumée, consacrée à la création cinématographique régionale. Le public pourra découvrir une sélection de films d'écoles et d'ateliers ainsi que des courts métrages de réalisateurs et réalisatrices de notre région, animation, fiction, documentaire et expérimental. Nombre d'entre eux seront présents pour accompagner leur œuvre et échanger avec le public. Un coup de projecteur sera donné sur Girelle Production, société de production Orléanaise dont le producteur, Christophe Camoirano nouvellement installé à Nice présentera Deux cancres de Ludovic Vieuille.

 

Enfin, le vendredi 1er décembre, la BMVR Louis Nucéra accueillera la table ronde « Écrire pour le cinéma, de l’écriture en ligne à l’écriture papier, histoires d’un aller-retour », avec un plateau d'écrivains, critiques et blogueurs venus parler de leurs écrits et de leur passion.

 

Les 19es Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Du 30 novembre au 2 décembre 2017

Cinéma Mercury - BMVR Louis Nucéra - Nice

Tarif unique 4 € - Pass Rencontres 15 €

 

Contact : regardindependant@gmail.com / Tel : 06 23 07 83 52

Notre page Facebook : https://www.facebook.com/regardindependant06

Visuel : Sandy Masotti, Justyna Ptak et l'équipe de Regard Indépendant.

13/11/2016

24 novembre : Soirée d'ouverture

Jeudi 24 novembre - Théâtre Francis Gag

À partir de 20h00 – Soirée d'ouverture

 

Les contes du Grillon – Quatre courts métrages en super 8 réalisés par Michel A. Chappuis – Production : Compagnie Le Grillon, Neuchâtel – Musique originale : Albert Vilaine – Suisse – 2008/2015 – 15 min.

Avec Nicolas Chappuis, Daniel Stern, Laurent Affolter, Michel Coste, Laurent Zysset, Vincent Held, etc.

Le 7ème nainLe petit pousséCendrillerLes trois gros porcsQuatre histoires courtes, des contes que chacun connaît ou croit connaître. Tournés selon la technique du « tourné-monté ».

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Un homme inverti en vaut deux – Spectacle de Commedia dell'arte – Travail d'improvisation et d'écriture dirigé par Frédéric Rey et produit par la Semeuse – 10 min environ – Avec par ordre alphabétique : Luc Bonnifay, Alessio Brains-Vercelli, Samia Cohen, Sandrine Demarche, Francesca Frassanito, Gilles Galluccio et Gabriel Zerbib.

La Commedia aussi ça arrache ; en tout cas, ça arrache les pages.

Pantalone, Colombine ou Zanni, tous ces personnages, masqués ou pas, en témoigneront : près de cinq siècles après son apparition, la Commedia dell’Arte a encore quelque chose à dire… Même s’il faut arracher des pages, même s’il ne fallait surtout pas arracher la page du… non, je ne vous raconte pas, venez voir, c’est mieux.

 

Un exquis cadavre – Fantaisie en super 8 réalisée par Patrica Van Poppel, Marina mineeva, Gregory Tenani, Vincent Jourdan, Luc Bonnifay, Antoine Banni, Frédéric Cencini et Justyna Ptak – 3 min.

M. – Un film d'Emmanuel Desestré – Musique : Jean-Claude Narbonne – Super 8 en tourné-monté – 3 min – Avec Mathilde Dracon et Ayçanur Top.

Qui se cache derrière M. ?

 

Programme Straight 8 – Angleterre – 2016 – 12 min.

Le grand retour de nos amis anglais avec la première partie du programme Crème de la crème présenté à Cannes en mai 2016. Quatre perles de trois minutes, une cartouche de super 8, pas de montage.

Le site des Straight 8

Misty – un film de Benjamin Scrimgeour.

Jam! – un film de Jack Scott.

Clowns – un film de Paul Walkingshaw.

Tortillas – un film de Jeff Zorrilla.

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Merakhaazan en ciné-concert « Un chien andalou ».

Conduisant la contrebasse dans les contextes électro acoustiques contemporains, Merakhaazan présente une vue personnelle du récital de musique pour cordes. Sur scène, l’improvisation est également à l’honneur en tant qu’expérience auditive, dans des tableaux musicaux uniques, afin que la musique puisse évoluer, muter et finalement se renouveler en permanence au fil des concerts. Pour cette soirée, il accompagne le classique iconoclaste de Luis Buñuel et de Salvador Dalí d'une partition de sa création composée à la démesure du film.

le site de Merakhaazan

Un chien andalou – un film de Luis Buñuel et Salvador Dalí – 1929 – 15 min 50 s.

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09/10/2016

15 octobre - Clotûre du Sept OFF à la Zonmé

Soirée de Clôture du 18 SEPTOFF Festival de la photographie Méditerranéenne + Battle de courts métrages + concert de Niels DUFFHUËS.


En partenariat avec Un Festival c'est Trop Court // Regard Indépendant // Concert Chez moi // La Zonmé.
Cette soirée marque la fin de la 18ème édition du festival. L’occasion de se retrouver pour un dernier vernissage, celui de l’exposition à deux voix La Marge. Mais c’est aussi un moment de fête, pour lequel nous avons motivé les troupes associatives locales !

Sept Off, La Zonmé, Regard Indépendant, super 8Toute l'équipe de l'association niçoise Regard Indépendant est ravie de répondre à l'invitation de l'équipe du 7off 2016. Défenseurs de la pellicule argentique à travers nos collections annuelles en super 8 tourné-monté, nous vous proposons, à l'occasion de la soirée de clôture du samedi 15 octobre à la Zonmé, de découvrir une sélection des meilleurs films de l'édition 2015 qui fêtait les 50 ans du super 8 et de la mythique pellicule Kodachrome.

Au programme, de la couleur et du noir et blanc, de l'humour et de l'amour, de la fantaisie et des ambiances fantastiques, de la voix off et de la musique. Et le tout avec la magie inimitable de la projection argentique.

Projection en super 8 avec bande sonore synchronisée en direct.

Durée totale : 20 minutes

Paris, ici Paris un film de Charbel Kamel – Photographie Mokhtar Beyrouth – Musique Joe Kamel – En partenariat avec Metl L film.

Paris, ici Paris, problème technique.

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Trash, un film d'Emmanuel Désestré.

Rien ne vient entacher un anniversaire improbable !

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JMK, un film de Feyyaz- Avec Julia-Maria Köhler.

Un portrait de Julia-Maria Köhler.

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Harum scarum, un film de Marine Broussaud – Muet - En partenariat avec La Petite Marchande de Films.

Avec Lucie Osouf, Élodie Coulon et Pascal Dickens.

Lucie, au hasard d'une balade, emprunte un passage vers un monde inquiétant. Ce qui l'attend là n'a ni queue ni tête.

Sombre dimanche, un film de Jacques Ghiglione – Texte Jacques Ghiglione – Vision HD de Jean Noël Chelotti.

Avec Anna Cappietto, Jean Noël Chelotti, Laurent Marro et Robert Goublet.

Une femme, probablement abandonnée, quitte sa maison et en jette la clef. Elle veut partir par n'importe quel moyen mais l'avion ne peut pas voler, le bateau ne peut pas naviguer, et les ballons rouges ont cassé leur corde… Et maintenant… sombre ou pas sombre ce dimanche ?

The End, un film de Le Radis Calciné (Teresa Maffeis / Guy Ouillon / Pierre-Rémy Pichon) - Son Le Radis Calciné, Jérôme Barbier, Myriam Frasca-Delabre - Musique Frédéric Chopin, Le Radis Calciné, Jérôme Barbier, Myriam Frasca-Delabre.

Avec Anne-Marie Baille, Antoine Banni, Jérôme Barbier, Adrian Bidu, Bibiana Braiech-Malatesta, Christiane Carron Fourt, Olivier Debos, Laurie Deltour, Arnaud Flores, Nicole Françon-Longa, Myriam Frasca-Delabre, Philippe Frey, Jean-Luc Gautero, Mélaine Gautier, François Guillaumet, Mahesh Ji, Hugues Klingelschmitt, LalSh, Jean-Pierre Longa, Jean-Luc Levenes, Cathie Lipszyc, Teresa Maffeis, Melody Malatesta, Elisa Nesta, Guy Ouillon, Yannis Treffot, Jean-Claude VanDamned.

Le Super 8 refuse de mourir. Alors il vous raconte sa vie, sa résistance, et son amour... cyclopéen. En partance pour une expérience numérique imminente, il profite de ce film d'art et décès pour livrer sa lutte... finale ?

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www.regardindependant.com

28/09/2016

30 septembre et 1er octobre - Week end Tout Court(s) à Cannes

« Week-end Tout Court[s] » !

Vendredi 30 septembre et Samedi 1er octobre 2016.

Contrée méconnue du paysage cinématographique où souffle le vent de la jeunesse, de la fraîcheur et de la liberté débridée, le court-métrage se dévoile et se décline sous toutes ses formes le temps d’un week-end de mise à l’honneur à la médiathèque de Cannes ! Venez le (re)découvrir lors de la quatrième édition du « Week-end Tout Court[s] » les vendredi 30 septembre et samedi 1er octobre.

Programme :

- Vendredi 30 septembre, à 19h : Conférence/débat : Gérard Camy -écrivain, journaliste spécialiste du 7ème art, président de l’association Cannes-Cinéma- évoque la place de la technologie numérique dans le cinéma actuel : conséquences économiques, techniques et artistiques ; projections à l’appui. (sous réserve)

- Samedi 1er octobre, à partir de 14h30 : Programmation de courts-métrages sélectionnés par la médiathèque, issus notamment du collectif Eroïn, de la société de production cannoise ADASTRA, du festival Faire un Film en 48h de Villeneuve-Loubet, du festival du Film Merveilleux de Paris de l’association niçoise Regard Indépendant et de l’association Héliotrope ; en présence d’acteurs et de réalisateurs.

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Programmation super 8 proposée par l'association Regard Indépendant :

L’équipe de Regard Indépendant répondant à l'invitation de La Médiathèque de Cannes dans le cadre d'un Week-end Tout Court(s) vous propose de découvrir le film collectif réalisé en 2015 pour les 50 ans du super 8. Ce film, tourné et projeté en argentique, veut montrer que la pellicule argentique est toujours créative ici et maintenant. L'utilisation du super 8 permet, outre son rendu inimitable, de découvrir ou retrouver l'intensité du geste cinématographique. Le super 8 est irrésistible. C'est ce que décline, sur un mode festif et ludique, ce film en forme de gâteau d'anniversaire à travers le regard de cinq metteurs en scène utilisant la technique du tourné-monté.

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Irrésistible super 8 ! - Un film collectif de Regard Indépendant – 22 min. - Avec la participation de Antoine Banni, Olivier Baudoin, Luc Bonnifay, Jérôme Chabreyrie, Jean-Noël Chelotti, Jacques Ghiglione, Armande Jourdan-Fille, Vincent Jourdan, Hugues Klingelschmitt, Xavier Ladjointe, Teresa Maffeis, Sandy Masotti, Guy Ouillon, Sophie Perrone, Andrea Staerke, Esther Tomaselli, Karine Tomaselli.

Tandis que l'immense cinéaste Jean-Luc Truffaut initie sa fille à l'art subtil de la pellicule argentique, la prodigieuse réalisatrice Françoise Godard et son équipe de choc filment le clown Alfonso dans un plan anniversaire pour les 50 ans du super 8. Cinq histoires ponctuent leurs tentatives, cinq manières de célébrer le caractère irrésistible de cette pellicule désormais mythique.

 

La vie amoureuse de Nathalie Portas, image de Pierre Virol, musique de Tom Drexl, avec Guillaume Juan et Virginie Cipre.

Un homme pense avoir trouvé l’âme-sœur : elle aime les films en Super 8 ! ça tombe bien, c’est sa passion ! Il l’invite chez lui, mais tout va de travers.

The element of light de Hugues Klingelschmitt, image d'Antoine Banni, avec Sophie Tournier-Bisson, William Daunot, César Mugerin, Corinne Demoulin, Hayet Thuries et Marie-Virginie.

Un homme atteint d’un mal étrange parcourt son inconscient sous hypnose pour découvrir l’origine de son trouble.

Performance d'Antoine Banni, avec Farfalue, Anne Lamotte, Lucie Thouvenin, Philippe Frey

Une femme erre sur la Promenade des Anglais quand un individu l'invite à trouver un sens à sa vie.

Le chant du super 8 de Luc Bonnifay.

Ils ne sont quand même pas venus pour beurrer vos sandwichs !

Ils sont venus pour suéder.

Et ça va suéder sec, ils iront jusqu’au bout…

Patamo, M. Légo, Madame Patate… Ils seront tous là, bientôt.

Super ∞ de Laurence et Julien Barlier, musique de Pascal Gérard, avec Marie et Christophe Haye.

John entre dans un magasin pour faire développer son film super 8. Devant le refus de la vendeuse, John s'imagine en super héros sauveur du 8 dans un monde où ce chiffre aurait disparu.

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Entrée libre dans la limite des places disponibles

Médiathèque Noailles – 01, Av. Jean de Noailles, 06400 Cannes

Un événement Ville de Cannes – www.cannes.com

04.97.06.44.83 – pour tout renseignement ( service vidéothèque)

26/09/2015

15 au 29 octobre- La saint Narcisse (avec du super 8 !)

Festival Saint Narcisse 2015

Les Urbains de Minuit proposent la quatrième édition du Festival de la Saint Narcisse du 15 au 29 octobre à Nice. 15 lieux, 15 jours, 15 nuits, 150 artistes.

Tous les événements du Festival de la Saint Narcisse sont des soirées privées auxquelles vous êtes invités, sans chichis ; ils sont en participation libre pour les artistes, autrement dit au chapeau, et en adhésions à l'association  des Urbains de Minuit comme parfois à d'autres lieux associatifs.

Urbain parmi les Urbains, vous avez la possibilité unique de découvrir les personnalités émergentes et/ou confirmées les plus originales de la création Niçoise.

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"Pendant deux semaines les artistes niçois se regardent le nombril et font admirer leur beauté dans le miroir des illusions. Expo, concerts, performances, pendant 15 jours déjantés, "Les Urbains de Minuit" cultivent avec dérision et auto-dérision le mythe de Narcisse." (Odile Morain pour France tv info, 2013)

Découvrez le programme complet sur le site des Urbains de Minuit

Pour cette édition 2015, Regard Indépendant propose de fêter le super 8 le 24 octobre à La Zonmé (7Bis Rue des Combattants en Afrique du Nord, 06000 Nice), ce qui tombe bien puisque que c'est le jour du Global Super 8 Day, soit l’événement planétaire célébrant les 50 ans du super 8 ! Au programme, de l'amour avec une sélection de 7 courts métrages puisés dans nos collections en tourné-monté. Il y aura du local, plusieurs films primés, une ouverture sur l'extérieur, de la parité, de l'humour et un poil de sexe, ça devrait être bien.

Éros dans mon super 8 un film de Nathalie Portas - Avec Carla Gillespie et Mattias Guittari (voix off) - Premier prix du jury - 13e Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice 2011 - Collection "Oui" (2011)
Croiser la puissance de fascination du cinéma à la puissance du désir érotique, c'est ce qu'il voudrait. Mais elle a autre chose à faire.

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Ce n'est plus mon film de Roxane Petitier - Musique : Laure Jamme/Roxane Petitier - Avec : Marjorie Nouvel et Tony Faria-Fernandes - Second prix du jury - 12e Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice 2010 - Collection "La première fois" (2010).

La première fois que j’ai réalisé un film, je n’avais pas d’acteurs. J’ai filmé ma propre vérité, mon histoire d’amour.

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J'ai deux amours – Un film de Hugues Klingelschmitt – Assisté de Guy Ouillon et Antoine Banni – Musique : Hugues Klingelschmitt - Avec Thibaud Cavalié, Antoine Banni, Terea Maffeis et Guy Ouillon - Collection "Ville folle" (2014)

J'ai deux amours, par delà les mers. Les révolutions se feront au-delà des colères... Des villes marchant sur les hommes qui titubent pour qu'ils ne cessent de tomber.

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Cactus de Sandra Fatté – Photographie : Hassan Haïdar et Sandra Fatté – Son : Stéphanie Nassar  – En partenariat avec Metl L Film. Avec Joanna Andraos et Chadi Dib - Premier prix du jury – 16e Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice 2014 – Collection « Ville folle »

À Beyrouth, les débuts d'une amourette entre deux voisins sont menacés.

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Don Quichotte dou Paioun du Radis Calciné – Musique : Jérôme Barbier – Avec Romain magne, François Guillaumet, Christel Giumelli, Teresa Maffeis, Guy Ouillon, Pierre Remy Pichon et Nouara Aci - Prix du public et accessit pour la narration - Collection "Ville folle" (2014)

Dans un village sur les berges du Paillon, dont je ne veux pas me rappeler le nom...

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César (de 5 à 7) de Morgad Le Naour – En partenariat avec La Petite Marchande de Films. Mention pour la voix off - 15e Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice 2013 - Sélectionné au Short Film Corner Cannes 2014 - Collection «De 5 à 7» (2013).

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Sehnsucht de Charbel Kamel – Avec Julia Beitner - Collection Oui (2011).

Elle.
Sur la plage, dans les rues, les escaliers, les jardins…
Transformer un espace public en un autre, privé. Que privé.

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23/09/2015

2 et 3 octobre - Week-end tout court(s) à la Médiathèque de Cannes

La troisième édition du « week-end tout court(s) arrive à grands pas et se tiendra les vendredi 2 octobre et samedi 3 octobre. Ce festival de courts-métrages est organisé par la médiathèque de Cannes et s’articule sur deux jours avec de nombreux invités : Emmanuel Fricero  (réalisateur), Guillaume Levil (réalisateur), Olivier Polia  (réalisateur),Xavier Ladjointe (scénariste), Kevin Delanne( réalisateur), Alex Guillemain (réalisateur), Virginia Romero (réalisatrice- sous réserve), Tony Allen (producteur-sous réserve) et Yann Lerat (acteur).

Ce festival de courts-métrages a pour partenaire : - Le Festival du Film Merveilleux de Paris, L’Association niçoise Regard Indépendant, L’association Eroin :

Vendredi 02 octobre 19h00 : Table ronde «Le passage du court au long métrage». En présence des réalisateurs Emmanuel Fricero, Vincent Jourdan, Xavier Ladjointe, Guillaume Levil et Olivier Polia

Samedi 03 octobre dès 15h00 : Projection de courts-métrages ; programmation issue du palmarès de l’édition 2015 du Festival du Film Merveilleux de Paris, du collectif EROÏN, de l’association « 100% cinéma 100% Cannes », de l’association niçoise Regard Indépendant ; en présence d’acteurs et de réalisateurs.

Séance suivie d’un cocktail pour clôturer le week-end.

Dans ce cadre, l’équipe de Regard Indépendant répondant à l'invitation de La Médiathèque de Cannes, vous propose un programme plein d'images et de sons avec du super 8 sur grand écran. Au programme, une sélection des films réalisés par les participants de l'atelier super 8 de 2014 ainsi que ceux primés par le jury et le public.

Programmation super 8 proposée par l'association Regard Indépendant.

Ville folle, le palmarès des super 8 – films de l'atelier de la Médiathèque - 20 minutes environ.

Deux drôles d'oiseaux – Un film de Isabelle Angibaud et Sacha Casadamont-Duval - Scénario Isabelle Angibaud - Photographie : Sacha Casadamont-Duval – Son : Sacha Casadamont-Duval et Julien Barlier – Avec les voix de Laurent Virieux et Eric Cabin – En partenariat avec la Médiathèque de Cannes.

Une charmante petite ville se réveille au son des bulldozers. Sous le regard d'une vieille dame, dont la maison fut épargnée, et de ses oiseaux, deux architectes s'engagent dans une surenchère architecturale extravagante...

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Cactus de Sandra Fatté, 1er prix du jury – Photographie : Hassan Haïdar et Sandra Fatté – Son : Stéphanie Nassar  – En partenariat avec Metl L Film. Avec Joanna Andraos et Chadi Dib - Premier prix du jury.

À Beyrouth, les débuts d'une amourette entre deux voisins sont menacés.

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Like me metal de Laurence et Julien Barlier, 2eme prix du jury – En partenariat avec la Médiathèque de Cannes - Second prix du jury.

A la radio, est annoncé le 11 avril 2013, la mise à mort du dernier haut fourneau mosellan, à Florange, qui signe le coup d'arrêt de la sidérurgie lorraine.

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Building bang de Monique et Philippe Millat, 3eme prix du jury – Musique : Adrien Millat – En partenariat avec la Médiathèque de Cannes - Troisième prix du jury.

Un enfant joue le soir dans sa chambre, à construire en maquette un village monotone. Il s'endort et ses rêves sont remplis de constructions et de destructions en folie.

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Don Quichotte dou Paioun du Radis Calciné, prix du public et accessit pour la narration – Musique : Jérôme Barbier – Avec Romain magne, François Guillaumet, Christel Giumelli, Teresa Maffeis, Guy Ouillon, Pierre Remy Pichon et Nouara Aci - Prix du public.

Dans un village sur les berges du Paillon, dont je ne veux pas me rappeler le nom...

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Programme susceptible de modifications

Entrée libre

Médiathèque Noailles – 01, Av. Jean de Noailles, 06400 Cannes - 04.97.06.44.83 – Pour tout renseignement, demandez Christine ou Benjamin, à la vidéothèque

Le programme complet sur le site de la ville de Cannes.

07/02/2015

6-13 février - Festival Cinéma Sans Frontières au Mercury

Du 6 au 13 février 2015 se tiendra au cinéma Mercury (16 place Garibaldi – Nice), le 13ème Festival annuel de l'association Cinéma Sans Frontières sur le thème : Le cinéma sens dessus dessous, quad le cinéma joue avec ses codes. Polar, western, fantastique, documentaire, découvrez la programmation complète en cliquant sur l'affiche :

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Genres, Travestissements, Transgressions

L’idée de ce festival est née d’une constatation récurrente et somme toute très simple : le cinéma n’est jamais aussi bon que lorsqu’il dépasse les codes et les genres qu’il s’est lui-même fixés. D’ailleurs, on pourrait voir toute la programmation de CSF comme un long ruban de films hors normes ou transgenres.

Dès sa naissance, le cinéma s’est défini par deux genres majeurs qui perdurent aujourd’hui : D’une part, les films des frères Lumière qui enregistrent le réel ; La sortie d’usine ou L’arrivée du train en gare de La Ciota. C’est la veine documentaire du cinéma. La réaction du public voyant pour la première fois ce train sortir à toute allure du tunnel et foncer droit sur eux est la marque première, indélébile et signifiante de la rencontre entre l’image en mouvement et l’œil humain, de l’identification immédiate du spectateur à ce qu’il regarde…

L’autre grand genre du cinéma, c’est celui des films fantastiques de Méliès, les films qui, au contraire, ne racontent pas le réel, ou qui ne le racontent pas nécessairement tel qu’il est. C’est l’immense domaine de la fiction, sous toutes ses coutures.

Mais très vite, le cinéma va dépasser les grandes catégories héritées du théâtre et décliner des variantes qui lui sont propres et qui iront en se diversifiant au fil de son histoire.

L’idée du festival n’est évidemment pas de dresser un panorama complet de tous ces genres et sous-genres, mais de faire ressortir la puissance d’invention et de créativité qui surgit chez les grands cinéastes – et parfois chez les moins grands – dès lors qu’ils s’approprient les codes caractéristiques de chacun de ces genres.

La notion même de codification comporte en soi le risque du formatage et de l’étiolement, Ça donne le film prévisible, les scénarios balisés, le montage atone, la bande-son qui fait office de surligneur, les dialogues plats, le jeu d’acteurs standardisé, etc... Des kilomètres de pellicule hier, des millions de Giga aujourd’hui, sont consacrés à cette cause du plat réchauffé, de la charentaise et du parcours fléché où le spectateur est censé se sentir chez lui. Comme si c’était ce qu’on demandait au cinéma ! Bien au contraire, le bon film, le vrai, celui qui nous reste, est celui qui arrive à nous surprendre avec ce que pourtant nous connaissons déjà. En effet, le cinéma, même s’il n’a guère plus de 100 ans d’existence, s’est emparé instantanément, et peut-être plus profondément que toutes les autres formes d’art, de notre imaginaire, il le peuple, il le colonise même avec une facilité déconcertante. À ce propos la manière dont le cinéma est advenu au monde est en soi significative.

Attraction foraine à ses débuts, divertissement immédiatement accessible, le cinéma commence par gagner ceux qu’on appellerait aujourd’hui les 99 %. De fait, il n’obtiendra que bien plus tard ses lettres de noblesse. C’est sans doute ce qui explique que nous soyons si nombreux à avoir intériorisé, sans même y prêter jamais vraiment attention, tous ces personnages-clefs, qui sont autant d’archétypes, du film noir ou du western, du film d’aventures ou du film-catastrophe, de la comédie musicale ou du polar...

Gangster au grand cœur ou brute épaisse, flic véreux ou détective irréprochable, femme fatale ou tendre ingénue, pistolero romantique ou marginal meurtri, jeune garce sans scrupule ou vielle dame complètement frappadingue, nous portons en nous toute une « comédie humaine » qui nous vient du cinéma, une galerie de portraits qui se constitue par résonance avec ce je-ne-sais-quoi de profondément intime auquel s’adresse le cinéma.

C’est précisément parce que nous avons absorbé si intimement tous ces personnages, toutes ces péripéties, tous ces passages obligés que nous détectons immédiatement ce qui s’en écarte pour nous entraîner ailleurs. Il suffit parfois d’un pas de côté pour nous désorienter, piquer notre curiosité, laver notre regard de tout ce qu’il connaît et le renouveler… Nous sommes les premiers surpris par cette opération de passe-passe et une bonne partie de notre ravissement vient de ce décalage, de ce va- et- vient constant entre ce à quoi nous nous attendions et ce qui nous est servi en échange. À condition bien sûr de ne pas se faire avoir au change, car sinon la frustration s’avère vite totalement insupportable ! Tout le travail sur le genre s’effectue dans cet entre-deux. De la dérision à l’ironie, du détournement au renversement, le tragique se change en burlesque, le sublime en trivial, le terrible en drolatique et vice versa. Toutes les combinaisons sont possibles et n’en finiront jamais d’être explorées.

Dans notre modeste sélection, nous avons, nous aussi, voulu vous surprendre par des associations improbables, des rencontres inédites, des télescopages dépaysants, car qui a jamais vu un shérif qui carbure à la limonade, un simple pneu qui se prend pour un serial killer, ou encore un faussaire qui dit la vérité ?... Mais au fond, pourquoi pas ? Au nom de quoi cela serait-il impossible ? Le réalisme, la vraisemblance, l’usage, la convention ? Foin de tout cela, il suffit que le réalisateur soit suffisamment convaincant pour vaincre nos éventuelles résistances et nous entraîner dans son monde qui est, alors, forcément, aussi un peu/ beaucoup/ passionnément/ à la folie le nôtre. À ce moment-là, par cette alchimie qui lui est propre, le cinéma nous découvre à nous-même et il ne tient plus qu’à nous de plonger non seulement dans l’inattendu du cinéma, dans l’inespéré du réel, mais dans notre propre inconnu.

C’est là, à n’en pas douter, la grande affaire du cinéma d’être à la fois la représentation mimétique du réel – au-delà de tous les autres arts – et probablement de ce fait, le miroir d’un ailleurs insoupçonné.

Josiane Scoleri

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Dans ce cadre, Regard Indépendant s'associe à l'évènement en présentant le très original western Tchécoslovaque Joe Limonade (Limonádový Joe aneb Koňská opera) réalisé par Oldřich Lipský en 1964 et sorti en France l'année suivante. L'occasion pour le président de Regard Indépendant de revenir sur ce genre majeur du cinéma.

22/12/2014

Héliotrope, appel à comité de sélection

Dans le cadre du festival européen du court métrage de Nice « Un festival c’est trop court! », du 9 au 16 octobre 2015, l’association Héliotrope lance un appel aux volontaires cinéphiles afin de constituer le comité de sélection de l'édition 2015.

 

Plus de 1700 films ont été reçus à l'occasion de l'édition 2014. La sélection n'aurait pas été possible sans le travail émérite des 26 membres du comité de sélection assignés à quatre compétitions :

  • Compétition Européenne : 38 films de fiction, d’animations, documentaires ou expérimentaux retenus et répartis en huit programmes

  • Compétition Expérience : 30 films d'expérience retenus et répartis en deux programmes

  • Courts d'Animation : 15 films d'animation d'écoles francophones retenus et répartis en un programme

  • Courts d'Ici : 11 films réalisés et produits en région PACA et répartis en deux programmes

 

En cette prometteuse 15ème édition, l'association Héliotrope a plus que jamais besoin de vous !
Si vous êtes passionnés de cinéma et de courts métrages, que vous disposez de temps libre et que vous souhaitez vous engager bénévolement aux côtés de l'équipe dans un objectif d'échange et de partage, merci de confirmer votre participation par mail  avant le mercredi 14 janvier 2015.

 

Une réunion d'information sera organisée le vendredi 16 janvier 2015 à 18h30, au bureau Héliotrope (10, bis rue Penchienatti – Nice)

 

Caroline Martinaux

Bureau du film
festival@nicefilmfestival.com

Marine Lucas

Chargée de communication
communication@nicefilmfestival.com

19/11/2014

27/29 novembre - Les 16èmes Rencontres

Les 16e Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Cinéma Mercury - Le Volume

27 – 29 novembre 2014

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Toute l'équipe de regard Indépendant a le plaisir de vous convier aux 6ème édition des Rencontres Cinéma et Vidéo se dérouleront du jeudi 27 au samedi 29 novembre au sein de deux lieux culturels niçois : la salle le Volume et le cinéma Mercury.

L’association Regard Indépendant poursuit son travail de valorisation de la création indépendante et du format argentique super 8 qui fêtera l'an prochain ses cinquante années d 'existence.

Nous avons a choisi le thème aux multiples interprétations « Ville folle » pour ce rendez vous annuel. Les films réalisés tout au long de l'année sur ce thème, en super 8 sur le principe du « tourné-monté », seront projetés au cinéma Mercury le samedi 29 Novembre à partir de 20h30.

Les trois journées des Rencontres seront, comme à l’accoutumée, dédiées à la création cinématographique régionale. Il sera proposé une sélections de films d'école et d'ateliers et des courts métrages de réalisateurs et réalisatrices régionaux, films d'animation, fictions, documentaires et expérimental. Il sera possible de découvrir les œuvres de Florian Schonerstedt, Antoine Banni, Élisabeth Leuvrey, Jonathan Hudic, Julie Perreard ou Amine Sabir. Les réalisateurs seront présents pour répondre aux questions du public.

Pour tous ceux qui souhaitent passer à l'acte cinématographique, Guillaume Levil animera avec Xavier Ladjointe une séance spéciale autour de la réalisation et de la production indépendante le vendredi à 16h30. Sur les écrans également, La machina, original long métrage de Thierry Paladino qui va de village en village dans le sud de la France. Un film à voir en famille.

L'ouverture sera l'occasion d'une carte blanche à nos amis normands de La Petite Marchande de Films, d'un concert de Jean-Louis Chinaski et d'une nouvelle session de « Ramène ta bobine » ou les spectateurs sont invités à apporter leurs anciens films en super 8 pour une projection surprise.

Autour du super 8, nous proposerons vendredi 20h00 la découverte de Kodachrome, long métrage en forme de road movie réalisé par le collectif « K-14 », quatre jeunes réalisateurs belges épris de cette pellicule mythique.

Les 16èmes Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Du 27 au 29 novembre 2014

Cinéma Mercury – Le Volume – Nice

Tarif 4 € / Soirée Le grand soir du super 8 tarif unique 8 €

Contact : regardindependant@gmail.com

Tel : 06 23 07 83 52

Visuel : Didier Balducci

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11/10/2014

13-19 octobre - Un festival c'est trop court !

Du 13 au 19 octobre se tiendra la 14e édition d'Un festival c'est trop court !, le festival européen du court métrage de Nice organisé par nos amis de l'association Héliotrope.

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L'éditorial de Laurent Trémeau, Directeur artistique

Outre les 93 films répartis dans les 4 compétitions, le pays invité (La Roumanie), les programmes thématiques récurrents (Scopitone, documentaire…), les séances spéciales (Prix SNCF du Polar) et la journée professionnelle Nice Short Meeting, Un festival c’est trop court présente cette année FINAL CUT, un large panorama consacré au MONTAGE, dont la bande annonce 2014 esquisse une introduction à travers « la femme à la caméra ».

Élément essentiel du langage cinématographique, le montage constitue aussi la matière la plus spécifique du cinéma. Car, si écrire, dessiner, jouer, réaliser des prises de vues ou de son, apparaissent aussi dans la littérature, le théâtre, la photographie : pratiquer l’art du montage relève bien du seul cinéma.

En 1929, Dziga Vertov l’annonce en ouverture de L’homme à la caméra : il cherche « à créer un langage cinématographique absolu et universel, libéré du langage théâtral et littéraire ».
Des débuts du cinéma et aux films sans montage, à l’avènement des fondus enchainés dans le cinéma classique hollywoodien, jusqu’aux jump cuts de Godard sur la nuque de Jean Seberg dans A bout de souffle, le montage a traversé l’histoire du cinéma, avec ses techniques, ses évolutions et ses théoriciens.

40 ans après les théories et les œuvres des formalistes russes Eisenstein, Koulechov et Vertov,l’arménien Artavazd Pelechian reprend le flambeau de l’avant-garde « J’essaie de faire un cinéma pur qui ne doive rien aux autres arts ». Un de ses courts métrages réalisé en 1967, Au début, sera « joué » en ciné concert par les musiciens d’OeilRoulette.

Final Cut, expression désignant le montage final d’un film, décrit l’enjeu de pouvoir et de décision finale entre le producteur et le réalisateur. « Le seul moment où l’on peut exercer un contrôle sur un film est le montage (…). C’est toute l’éloquence du cinéma que l’on fabrique dans la salle de montage. » dit Orson Welles.

Le montage : troisième œil ou troisième main ?

Après l’écriture et le tournage, refait-on le film une troisième fois ? Le monteur devient-il un scénariste, doublé d’un réalisateur, ou un ultime collaborateur pour l’auteur ?

La masterclass avec un des plus grands monteurs français Yann Dedet, permettra d’aborder la question du montage au cinéma, sa technique et sa pratique, mais aussi et surtout de décrire les relations entre le réalisateur et le monteur.

Final cut aborde aussi le cinéma expérimental avec les films de found footage qui puisent leurs images dans des œuvres existantes, on y retrouvera notamment un des derniers films du maitre allemand Matthias Müller.

Final Cut ne pouvait faire l’impasse sur l’une de ses inspirations majeures, Blow-up, le web-magazine d’ARTE dirigé par Luc Lagier qui n’en finit plus de tisser des liens entre les perles du 7ème Art, dans des montages habiles (Recut), autour de thématiques insolites (Tennis et cinéma).

Enfin, l’art du détournement et de l’œuvre revisitée, explose sous toutes ses formes grâce à l’outil informatique…connecté. Le « mash-up », le sample visuel, remixe tout : films, séries, pubs, clips. Il est un film fondateur devenu culte, après Debord mais avant les faiseurs d’Internet : La classe américaine / Le grand détournement réalisé en 1993 par Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette.

Qui n’a jamais rêvé de voir sur grand écran, George Abitbol, l’homme le plus classe du monde ?

Le site du festival

09/10/2014

10 et 11 octobre - Week-end tout court(s) à la Médiathèque de Cannes

Second Week-end Tout Court(s) à la Médiathèque de Cannes, les 10 et 11 octobre.

Synonyme de jeunesse, de fraîcheur et d’inventivité débridée, le court-métrage se dévoile et se décline sous toutes ses formes le temps d’un week-end de mise à l’honneur à la médiathèque de Cannes ! Venez le (re)découvrir lors de la seconde édition du week-end Tout Court[s].

Entrée libre dans la mesure des places disponibles.

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Programme :

 

Vendredi 10 octobre

18h - Rencontre avec Nicolas Bary et Nicolas Duval

Une discussion « au long cours » en compagnie de deux réalisateurs émérites autour de leur carrière respective, leur conception du cinéma, le passage du court au long-métrage.

 

Samedi 11 octobre

Le matin - Projection de courts-métrages issus du fonds de la vidéothèque Noailles.

15h - Programmation de courts-métrages sélectionnés

Issus notamment du palmarès de l’édition 2014 du Festival du Film Merveilleux de Paris et de l’association niçoise Regard Indépendant ; en présence d’acteurs et de réalisateurs.

 

Programme Regard Indépendant :

Petites annonces - Un film de Sandra Fatté – Premier prix du jury 15e rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Ich bin 47 – Un film de Jan Peters – Second prix du jury et Prix du public 15e rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

César de 5 à 7 – Un film de Morgad Le Naour – Mention du jury 15e rencontres Cinéma et Vidéo à Nice.

 

Renseignements :

Médiathèque Noailles

1 avenue Jean de Noailles

06400 Cannes

04 97 06 44 83

08/02/2014

14 au 21 février : Festival CSF au Mercury

Le festival de Cinéma Sans Frontières aura lieu du 14 au 21 février au cinéma Mercury (16 place Garibaldi à Nice)  sur le thème "Les arts en bobines". Voici la programmation :

Vendredi 14 février à 20h30

Le salon de musique de Satyajit Ray(danse)

Samedi 15 février à 20h30

César dot mourir des frères Taviani (théâtre)

Dimanche 16 février à 17h

Le pré de Bejine de Serguei Esenstein (photo)

Sayat Nova de Boris Paradjanov et Compression de Sayat Nova de Gérard Courant (poésie)

Lundi 17 févier à 20h30

Leningrad cowboys go America de Aki Kaurismaki (musique)

Mardi 18 févier à 20h30

Alphaville de Jean Luc Godard et Compression d'Alphaville de Gérard Courant (architecture)

Mercredi 19 février à 20h30

La bête aveugle de Yasuzō Masumura (sculpture)

Jeudi 20 février à 20h30

Le songe de la lumière de Victor Erice (peinture)

Vendredi 21 février à 20h30

La genèse de Omar Sissoko (le récit mythique)

cinéma sans frontières

Avec le thème de ce festival "Les arts en bobines" dont le titre peut bien sur se lire de plusieurs manières, Cinéma sans frontières a choisi de privilégier le regard porté par le cinéma sur les autres formes d'expression artistique. Non pas à titre d'illustration ( nous avons écarté d'entrée de jeu toute biographie ou adaptation littéraire) mais pour essayer de s'approcher au plus près des différentes formes de création avec les outils propres au cinéma.

Par exemple, rendre l'impalpable de la poésie en images avec Sayat Nova de Boris Paradjanov ou encore la peinture en train de se faire sous nos yeux comme seul le cinéma peut le montrer avec Le songe de la lumière de Victor Erice.

Le cinéma permet de capter à la fois l'émotion de l'artiste et celle de celui qui reçoit l’œuvre, du sublime au grotesque (Le salon de musique de Satyajit Ray ou Leningrad cowboys go America de Aki Kaurismaki) Mais aussi la folie de l'artiste emmuré dans son rêve de toute puissance dans La bête aveugle de Masumura film choc du festival.

La programmation navigue dans le temps et l'espace comme c'est l'usage à "Cinéma sans frontières", films du patrimoine, classiques des temps modernes (Alphaville ou Sayat Nova) revisités par un cinéaste qui ose l'expérimentation avec les compression de Gérard Courant jamais montrées à Nice. et une projection en 35mm celle de Leningrad Cowboys go America parce qu'on y tient.

http://cinemasansfrontieres.free.fr
Contact mail CSF : cinemasansfrontieres@hotmail.fr
Contact téléphonique CSF : 06 72 36 58 57/04 93 26 54 46
Contact téléphonique Mercury : 08 92 68 81 06 / 04 93 55 81

05/11/2013

15e Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Les 15èmes Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Du 28 au 30 novembre 2013

La 15ème édition des Rencontres Cinéma et Vidéo se déroulera du jeudi 28 au samedi 30 novembre au sein de deux lieux culturels niçois : la salle le Volume et le cinéma Mercury. L’association Regard Indépendant a choisi le thème aux multiples interprétations « De 5 à 7 » pour son rendez vous annuel. Les 28 films réalisés en super 8 sur le principe du « tourné-monté » seront projetés au cinéma Mercury le samedi 30 Novembre à partir de 20h30. Les trois journées des Rencontres seront, comme à l’accoutumée, dédiées à la création cinématographique régionale et indépendante.

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Programme :

Jeudi 28 novembre – Salle le Volume

Soirée d’inauguration à partir de 20h

Au programme : Cocktail, sélection du 9e marathon du court métrage de Caen et de clips de musique guinéenne suivi d'un concert d’Anny Kassy.

Vendredi 29 novembre - Cinéma Mercury

Cette deuxième journée sera consacrée à la réalisation régionale avec les nouvelles œuvres de Guillaume Levil, Cédric Romain, Stéphane Coda, Antoine Banni, Marie Botti, Benoît Seyrat et un western moustachu signé David Mizera. Une place sera réservée aux travaux d’ateliers en milieu scolaire animés par nos amis de l’association Héliotrope ainsi qu’aux courts métrages de l’ESRA Côte d’Azur. En soirée, les compagnies En Décalage et Les Toubidons présenteront un spectacle d’improvisation théâtrale à partir de films super 8.

Samedi 30 novembre – Cinema Mercury

Après-midi consacrée à la production (vraiment) indépendante qui nous transportera en Tunisie et en Guinée, du super 8, encore, avec une sélection des Straight 8 anglais et une carte blanche à The Smalls.

Point d'orgue, le grand soir du super 8 pour une édition 2013 très internationale, avec des réalisateurs libanais, allemands, américains, anglais, et normands (en partenariat avec La Petite Marchande de Films) qui ont été invités à se joindre aux réalisateurs de la région. Au total, 28 films seront présentés en présence des réalisateurs qui découvriront leur travail en direct avec le public. Le jury remettra les prix à la fin de la projection.

La soirée de clôture sera rythmée par Memphis Mao aux platines et par la projection de deux œuvres : le culte Nekromantik de Jörg Buttgereit, et la Princess Mononikée du Radis calciné. Elle entretiendra la réputation conviviale de cette manifestation en animant le cinéma Mercury et ses alentours comme lieu de rencontres entre créateurs et public.

Informations à télécharger à partir des liens sur votre droite.

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Visuel Illys PoulpFiction

14/10/2013

Du 15 au 20 novembre - Un festival c'est trop court ! 13e

Le cour-métrage : une exception culturelle


Les festivals, une exception économique, sociale et solidaire

“En pleine réunion à propos d’un dossier de projection en plein air que nous soumettions, je me souviens encore de la réponse un rien énervée à un directeur technique qui m’interrogeait : « Mais cette projection, c’est indispensable ? ». « Mais non, rien n’est indispensable, il n’y a que les cheveux de ma fille qui sont indispensables ! » avais-je ruminé, sans pour autant sauver le projet.
Ah, que c’est dur parfois de faire reconnaître notre action, cette « exception culturelle », celle qui permet à la production, à la distribution, à l’exploitation, aux festivals de guider le public vers des œuvres en dehors de la norme engendrée par le marché.


Le cinéma indépendant vit aussi et surtout en-dehors de ce carcan. En cet automne 2013, les artistes et techniciens du cinéma français frémissent de voir l’application de la nouvelle convention collective, qui condamnerait les films à petits budgets, incapables d’assumer les majorations imposées pour les périodes de préparation de tournage, les heures supplémentaires, les heures de nuit. Lancé par une centaine de cinéastes, l’appel au président de la République rappelle que « l’équilibre historique entre la part artistique et la part industrielle de notre cinéma pourrait être à jamais bouleversé ».


Art et industrie, culture et économie, nous y voilà, implacables dualités du cinéma et des festivals. Sauf que, bonne nouvelle, Un festival c’est trop court ! a des effets bénéfiques sur la croissance et l’emploi ! C’est en tout cas ce que laisse entrevoir le futur programme de l’Union Européenne Europe créative (2014 – 2020) qui succède, entre autres au fameux programme audiovisuel Media. En tant qu’industrie créative, pleinement engagée dans la culture et la création, Héliotrope contribuerait de manière importante à l’innovation et à la cohésion sociale. Nous sommes sauvés, et avec nous, nos emplois précaires, victimes impuissantes du turn-over et des fins de renouvellement de contrat.


En attendant, nous verrons passer la TVA de 7 % à 10 % (après être déjà passée de 5,5 à 7%) sur les locations non commerciales de films : une situation d’autant plus injuste que dans le champ de l’exploitation commerciale comme les multiplexes, ce taux est resté à 5,5% !
Alors restons fiers de nos valeurs : à en croire le Ministère qui porte son nom, l’économie Sociale et Solidaire regroupe environ 200 000 entreprises (associations, mutuelles, coopératives), soit 10% des emplois et près de 2,4 millions de salariés, qui concilient activité économique et utilité sociale. « Les festivals à l’échelle de l’économie Sociale et Solidaire », voici l’enjeu et un des sujets d’étude de la semaine…au milieu des 159 courts métrages et des 59 séances proposées.
Excellent treizième à tous.”

Laurent Trémeau, Directeur artistique d’Un festival c’est trop court !

Héliotrope

Festival émergeant de la Côte d’Azur, Un festival c’est trop court réunit chaque année le meilleur de la jeune création européenne à travers de nombreux programmes compétitifs autour d’un genre cinématographique, le court métrage. Avec 8 000 spectateurs en 2012, le festival programme plus de 170 films venus de toute l’Europe :
des œuvres singulières, novatrices, rares ou inédites.

L’appel à films pour la sélection officielle est lancé depuis le 21 décembre dernier !


Le festival se compose de 4 compétitions officielles :
- La Compétition Européenne qui regroupe une 40aine de films.
- Courts d’ici (films tournés et produits en région PACA)
- Expérience (compétition de films Expérimentaux, vidéo d’art, nouveau cinéma)
- Courts d’Animation (compétition francophone de films d’écoles d’animation).

Chaque sélection est soumise aux votes d’un jury professionnel qui remettra différents prix en espèces et en prestations techniques.

Depuis sa création, le festival propose de découvrir la richesse de la cinématographie européenne, en mettant chaque année un pays à l’honneur. Après la République Tchèque, le festival se tournera vers le Danemark.

Le festival de Nice, c’est aussi une plate-forme de création et d’échange, avec la journée professionnelle, Nice Short Meeting qui met en perspective les enjeux artistiques et économiques du court métrage avec ateliers de formation, rencontres auteurs/producteurs, tables rondes thématiques, débats et projections.

Une semaine riche en découvertes pour approcher le court métrage sous tous ses angles, complétée par des programmes thématiques et des séances spéciales.

Un festival c’est trop court favorise depuis de nombreuses années la rencontre entre différents publics mêlant musique et cinéma à travers des ciné-concerts, des moments d’exception qui ajoutent une dimension particulière à l’esprit du festival.