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06/03/2012

9 mars - Soirée courts métrages à Villeneuve Loubet

Le vendredi 9 mars Artéo.films et la Dame Verte organisent une soirée projection de courts métrage produit dans la région PACA.Rendes vous à Villeneuve Loubet, Salle Escoffier à 21h00. Entrée libre.

Arteo, La dame verte, court métrage

 

04/03/2012

8 mars - Soirée ciné - défi -concert au Volume

Soirée 8 mars.jpg

25/01/2012

27 janvier - El Cantor au Mercury

L'association Regard Indépendant sera l'hôte de Cinéma sans Frontières au Cinéma Mercury (16 place Garibaldi à Nice) pour une carte blanche autour du film El Cantor de Joseph Morder le vendredi 27 janvier à 20h30.

El Cantor, Un film de Joseph Morder – 2005 – France - 35 mm – 1,85 - Dolby SR - Scénario : Harold Manning et Joseph Morder - Chef opérateur image : Catherine Pujol - Avec Lou Castel, Luis Rego, Françoise Michaud, Pierre-François Desgeorge, Taila, Abrahem Leber, Solange Najman, Rosette et Alexandra Stewart.

À la grande surprise de William, son cousin Clovis, qu'il n'a pas revu depuis une trentaine d'années, arrive de New York pour lui rendre visite. Les retrouvailles entre les deux hommes font naître mille souvenirs: toujours aussi complices, ils deviennent vite inséparables, revivant, l'espace d'un instant, leurs jeunes années… Seule Elizabeth, épouse de William, qui vient de perdre son père, ne partage pas leur gaieté.
Pourtant, peu à peu, le charme de Clovis, descendant d'une lignée de célèbres cantores, gagne tout le monde, y compris Elizabeth. Et s'il n'était pas rentré en France uniquement pour revoir son cousin? Et si la flamme des vieux chants yiddish, ceux de son père et de son grand-père, s'était soudain ravivée? Entre humour et nostalgie, Clovis tente de renouer avec son passé et ses racines, redevenant, pour quelques jours, el cantor…


Joseph Morder, le réalisateur :


Né le 5 octobre 1949 à Port-of-Spain (Trinidad et Tobago), Joseph Morder passe la plus grande partie de son enfance à Guayaquil (Equateur), avant de débarquer à Paris en 1962. Il gardera de ce passé sud-américain des images colorées qui influenceront son œuvre.
En 1967, il débute son Journal Filmé, qu’il poursuit aujourd’hui. Depuis 1970, avec les Archives Morlock, il fixe sur pellicule toutes sortes de manifestations (1er Mai, campagnes électorales, grands chantiers...). Journalisme (« Cinéma ») et enseignement de cinéma (Paris I, Femis) font également partie de ses activités.
En parallèle, il enrichit son travail narratif en utilisant son expérience personnelle et ses souvenirs au travers de films courts (Carlota, La Plage, La Gare de..., Assoud le Buffle) et de formats plus longs (Mémoires d’un Juif Tropical, L’Arbre Mort, Romamor) de tous genres. El Cantor est son premier long métrage en 35mm tourné pour le cinéma.

18/01/2012

26 janvier - Soirée ciné-concert de rentrée au Volume

Jeudi 26 juillet 2012
Soirée Ciné-Concert au Volume
Stéphane Coda – Super 8 – Jean-Louis Chinaski – Melchior Liboa

Première soirée de la nouvelle année, le jeudi 26 janvier à partir de 20H00 au Volume (6 rue Defly 06000 Nice). L'association Regard Indépendant en partenariat avec la Source vous propose une soirée pour découvrir ses activités pour la dernière année avant la fin du monde (réglez bien vos montres).
   
Au programme, une nouvelle diffusion du film de Stéphane Coda, Chloé en amont, présenté pour la première fois lors des 13e rencontres en novembre, avec un accompagnement musical fait pour l'occasion et interprété par Jean-Louis Chinaski. Super 8 pour la seconde partie avec la diffusion en super 8 du palmarès de la collection 2011 ainsi que le programme pour 2012. Musique pour finir, Jean-Louis Chinaski reprendra la guitare avec Melchior Liboa pour un concert de clôture. 

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20h30
Chloé en amont – France – 2011 – 28 min. Un film de Stéphane Coda – Montage de Stéphane Coda – Avec Magali Maria et Paulo Correira. Accompagnement musical original et en direct par Jean-Louis Chinaski.
Une course poursuite en une homme et une femme dans le lit d'une rivière.

21h30
Collection super 8 2011 sur le thème "Oui" : Le palmarès
Éros dans mon super 8 de Nathalie Portas. Grand prix
Discours aux asticots ou ceux qui s'en étranglent à ramoner les glaviots de Marine Broussaud. Deuxième prix
Trois lettres... pas mieux de Luc Bonnifay. Troisième prix pour son humour et prix du public.
L'effet King-Kong de Alban Van Wassenhove. Quatrième prix ou prix King-Kong : pour la prouesse technique.
(est-ce que) La vie est infinie (?) de Leïla Fréger. Mention spéciale pour sa poésie et sa voix off.
Oui à l'altruisme de William Tissy. Prix du public

22h30
Jean-Louis Chinaski  + Melchior Liboa en concert.
Jean Louis Chinaski joue avec les mots et les décibels depuis plus de 14 ans. Il est de ces artistes qui nous marquent dès la première rencontre et dont on sait, même si l'on entend plus parler d'eux pendant un moment, qu'ils existent et qu'ils vont resurgir. Et s'il chante encore le désenchanté c'est toujours avec la même rage chevillée au corps, comme en témoigne son premier EP 5 titres solo et autoproduit Celsius 232, une tournée à consommer sans modération.
Après une période faite de hauts et de bas, Jean-louis Chinaski entame une carrière solo. Exit le groupe ! Aujourd'hui, c'est en solitaire qu'il voyage avec Celsius 232, enregistré en décembre 2010 et sorti en février 2011.
Sur scène, il évolue avec sa guitare parfois avec le renfort de sample ou d'une boite à rythme, lâchant la bride à un univers composite de la plume au saphir.
Dans la foulée, Jean-Louis Chinaski sort un nouvel EP 5 titres La fin d'un souvenir pour décembre 2011, toujours en solo, preuve qu'il n'a rien perdu de sa faconde. Des titres constituant une sorte de suite à Celsius 232, un peu comme la face B d'un même disque. Des titres plus lents, plus contemplatifs et qui font comme un écho au premier EP. Une musique très cinématique et des textes foisonnants d'allusions, bercés d'illusions.
www.facebook.com/jlchinaski
www.myspace.com/chinaskiweb

20/01/12 : Les Capucins, Lyon
21/01/12 :Le Brin de Zinc, Chambéry
26/01/12 : Le Volume, Nice
10/02/12 : Théatre de la Providence, Nice
11/02/12 : Médiathèque, Antibes
16/02/12 : Les Marcheurs de Planète, Paris
18/02/12 : La Joie du Peuple, Paris
24/02/12 : Le Café Provisoire, Manosque
25/02/12 : Médiathèque, Cannes
01/03/12 au 15/03/12 : tournée en Russie

Melchior Liboa
« Quelques fois mes meilleurs amis sont les trains » Autoproduit.
Sur la pochette, il ligote une jolie fille sur des rails, bouteille à la main et barbe de trois jours au bec. Melchior est un mauvais garçon qui préfère balancer des mots crus aux quatre vents plutôt que de saucissonner sa langue dans sa poche. Sa poésie brute décrit le monde tel qu’il est, pas joli-joli, mais il réussit tout de même à vous arracher un sourire. Parce qu’il manie avec finesse un humour tordu. Et parce qu’on ne tombe pas sur un type aussi bourré de talent tous les jours. Son folk-rock trempé au blues fait vibrer des mélodies puissantes et parfumées à la térébenthine. Ses textes sombres, parfois dérangeants, creusent une intimité à vif sans jamais tomber dans la facilité. Dans le monde de Melchior, les abeilles butinent des charognes plutôt que des fleurs et ses personnages, noirs et déjantés, sont poursuivis par leurs démons et des comptoirs de bars. Un délice. (Aena Léo )

http://www.myspace.com/melchiorliboamusic


PAF : 3 € + adhésion obligatoire à l'association La Source 2 €

Visuel : Illys Poulpfiction

15/01/2012

Bonne année 2012 !

Voeux2012.jpg

11/12/2011

12 décembre - Au revoir de Mohammad Rasoulof aux Arcades

A l’initiative d'Amnesty International - membre du Comité de soutien 06 aux cinéastes iraniens privés de libertés - une nouvelle séance de solidarité (la quinzième) aura lieu demain :

 

Lundi 12 décembre - 19h30
Cinéma Les Arcades - 77, rue Félix-Faure - Cannes
Au Revoir (Bé Omid E Didar)
de Mohammad Rasoulof (Iran - 2011 - 1h40 – vostf)

 

Prix de la Mise en scène au Festival de Cannes 2011 (Section Un Certain Regard).
Le film sera présenté et le débat assuré conjointement par Vincent Jourdan (Regard Indépendant) et Philippe Serve (Cinéma sans Frontières).

 

Dans la situation désespérée de l’Iran d’aujourd’hui, une jeune femme avocate à qui on a retiré sa licence d’exercer, est enceinte de quelques mois. Elle vit seule car son mari journaliste vit dans la clandestinité. Traquée par les autorités, et se sentant étrangère dans son propre pays, elle décide de fuir...  Un cinéma de résistance qui ose monter au front sans se protéger derrière le voile de la métaphore.

07/12/2011

9 décembre - Les 10 ans de Cinéma Sans Frontières

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06/12/2011

Concours de scénarios, Port de Nice

Appel à projets de scénarios :


Un festival c’est trop court, la Chambre de Commerce et d’Industrie Nice Côte d’Azur, la Direction des Ports Nice Côte d’Azur et France 3 Côte d’Azur lancent à l’occasion de la 11ème édition du festival du court métrage de Nice, le Concours de scénarios, Port de Nice. 


Lancé pendant la 11ème édition d’Un festival c’est trop court, lors de la journée professionnelle Nice Short Meeting, ce concours de scénarios a pour but de révéler un auteur et de lui apporter une aide artistique et technique afin de réaliser un court métrage de fiction dans le quartier du port de Nice.  
Le scénariste / réalisateur sera sélectionné par un jury composé d’un membre de chaque structure partenaire (Un membre d’Un festival c’est trop court, de la Chambre de Commerce et d’Industrie, de France 3 Côte d’Azur, de la Direction des Ports, et un professionnel indépendant). Il sera accompagné dans la réalisation de son film par l’équipe du festival et le partenaire France 3 Côte d’Azur, qui apportera une assistance au tournage et à la postproduction.  


La première projection publique du film aura lieu lors de la 12ème édition d’Un festival c’est trop court en octobre 2012.


Appel à projets de scénarios lancé du 22 octobre au 31 décembre 2011.
Résultat annoncé le 20 janvier 2012.

Réglement et inscriptions

Association Héliotrope
10 bis rue penchienatti
06000 Nice
04 93 13 97 65
contact@nicefilmfestival.com

11/11/2011

Sur "Au revoir"

Ce soir cinéma Mercury à 20h30

"Bé omid e didar (Au revoir) a été présenté dans la sélection Un certain regard et s'il ne faut pas oublier le contexte ni les conditions de sa réalisation, il convient d'en parler en en faisant abstraction autant que possible. Et d'aborder l'œuvre en tant que telle. Bé omid e didar est le portrait d'une jeune avocate jouée par la talentueuse et belle Leyla Zareh (quelle robe elle avait lors de la présentation du film !). Spécialisée dans les affaires liées aux droits de l'homme, elle est enceinte. Son époux a été exilé dans le sud ou il travaille comme ouvrier sur un chantier après avoir été journaliste pour une publication interdite. Elle se voit retirer ses affaires. On l'empêche de travailler. Isolée socialement et professionnellement, elle jette l'éponge et veut partir. Quitter l'Iran. Elle entreprend alors une course d'obstacle pour se procurer un passeport et un ticket pour ailleurs. « N'importe où » dit-elle sans illusion. Visuellement, ce nouveau film tranche avec Jazireh ahani (La vie sur l'eau– 2004), au foisonnement des personnages répond la solitude de l'avocate tandis que le film décline toute une gamme de couleurs sombres et froides, un aspect renforcé par l'utilisation de la vidéo, qui se justifie par son côté pratique, bien sûr, mais aussi dans la description d'un quotidien bouché. Les intérieurs sont nombreux, bureaux, chambres d'hôtel et appartements, étroits et se ressemblants tous. Murs bleutés ou gris, mobilier impersonnel, pas de fantaisie. Pas de personnalité ou alors par toutes petites touches comme le vernis à ongles qu'il faudra enlever ou la petite tortue d'eau que l'avocate nourrit avec attention et qui finit, elle, par se faire la malle.

mohammad rasoulof

La caméra de Rasoulof cadre avec rigueur les pièces où l'on ne peut rien cacher et les toits où son héroïne va griller une cigarette. Les mouvements sont rares et discrets, Rassoulof préférant jouer du montage et de plans séquence qui traduisent l'absence d'intimité et la sensation d'étouffement (la scène de la perquisition). Il s'attarde longuement sur les traits de Leyla Zareh tandis que le monstre étatique reste sans visage, comme cet étroit guichet où l'on fait passer les passeports pour les contrôler ou le bureau du responsable des faux passeports où l'on entre jamais. Kafka à Téhéran. Démarches toujours renouvelées, règne de l'arbitraire, violence feutrée, surveillance de tous les instants et toujours ce sentiment de danger qui ne quitte jamais et use les nerfs. Bé omid e didar est un film sur la difficulté qu'il y a à conserver l'espoir, exorcisme en forme de fiction des peurs et des angoisses présentes de son auteur. Il y a pourtant, de-ci, de-là, quelques touches humoristiques, cette légèreté que j'avais aimé dans Jazireh ahani. C'est un humour grinçant mais révélateur d'un regard porté sur les êtres. Ainsi l'employé qui vient retirer la parabole interdite de l'avocate, motif cher au cinéaste (voir son documentaire de 2008 Baad-e-daboor) ou le ballet inutile des policiers qui perquisitionnent. Mohammad Rasoulof nous livre un film sombre et carré, un autoportrait en avocate, il donne de ses nouvelles, inquiétantes en ce qui concerne l'homme, rassurantes en ce qui concerne son cinéma."

Blog Inisfree

10/11/2011

11 novembre - Soutien à Mohammad Rasoulof au Mercury

Cinéma sans Frontières et Le Comité de soutien associatif 06 aux Cinéastes iraniens privés de libertés Présentent :

Vendredi 11 novembre 2011 - 20h30

Cinéma Mercury, 16 Place Garibaldi – Nice

Au revoir (Bé Omid E Didar) un film de Mohammad Rasoulof - Iran - 2011 - 1h40 – vostf

Prix de la Mise en scène au Festival de Cannes 2011 (Section Un Certain Regard).

En exclusivité à Nice.

Dans la situation désespérée de l’Iran d’aujourd’hui, une jeune femme avocate à qui on a retiré sa  licence d’exercer, est enceinte de quelques mois. Elle vit seule car son mari journaliste vit dans la clandestinité. Traquée par les autorités, et se sentant étrangère dans son propre pays, elle décide de fuir...

Un cinéma de résistance qui ose monter au front sans se protéger derrière le voile de la  métaphore. Venir voir ce film est aussi un acte militant. Selon la presse gouvernementale iranienne, la cour d'appel a réduit à un an de prison, contre six auparavant, la peine de Mohammad Rasoulof, coréalisateur avec Jafar Panahi du projet de film qui leur a valu d'être condamnés ensemble en décembre 2010 et qui traitait des troubles ayant suivi la réélection controversée en juin 2009 du président Mahmoud Ahmadinejad. La justice iranienne a confirmé en appel la condamnation de Jafar Panahi à six ans de prison et 20 ans d'interdiction de filmer, de voyager ou de s'exprimer, malgré la mobilisation internationale en faveur du cinéaste de renommée mondiale. Jafar Panahi demeure libre pour l'instant, selon sa famille. Un seul commentaire : continuons !

Présentation du film et animation du débat : Comité de soutien.

29/10/2011

16 novembre - Tous au Larzac au Rialto

Mercredi 16 novembre, 20h00 – au Rialto - 4 rue de Rivoli-Nice
Avant-première en présence du réalisateur Christian Rouaud , en partenariat avec Cinéactions.


Tous au Larzac, de Christian Rouaud (France,2011).
Festival de Cannes – hors compétition.


Ce n'est qu'un plateau isolé du sud du Massif central. Dispersées sur ce territoire ingrat, une centaine de familles. Des activistes ? Que non ! Des agriculteurs très croyants et conservateurs, plutôt hostiles à l'égard de Mai 68. Comment ce petit groupe d'hommes, a priori peu disposés à la lutte contre l'Etat, a-t-il pu tenir tête aux pouvoirs publics pendant une décennie ? Le film retrace l'histoire de ces luttes fondatrices, qui continuent à structurer la mouvance écologiste.

 

 

Tarifs habituels : réduit 6€ - Plein 7,50 €
Infos  Teresa 06 03 51 28 32  ou 04 93 13 49 78

Infos page cinema du site AdN
http://www.adn-nice.org/cineindex.htm

17/10/2011

18-23 octobre : Un festival c'est trop court

L’association Héliotrope présente cette année la 11ème édition du festival du court métrage de Nice, Un festival c’est trop court, qui se déroule du 18 au 23 octobre 2011. Un festival c’est trop court réunit chaque année le meilleur de la jeune création européenne à travers de nombreux programmes compétitifs autour d’un genre cinématographique, le court métrage. Avec l’ambition de proposer au public des films de tous genres et de toutes durées, venus de tous horizons, le festival offrira pendant une semaine, des œuvres singulières, novatrices, rares et inédites.

un festival c est trop court 210911.png

 En 2011, 1400 films, provenant de toute l’Europe, ont étés reçus pour concourir aux sélections du 11ème festival :
* La Compétition Européenne, 34 courts métrages en provenance de 14 pays.

* La compétition Courts d’ici, 18 films réalisés dans la région Provence-Alpes-Côte d’ Azur.

* La compétition Expérience, 22 courts métrages qui explorent un territoire hybride et débridé où essai, expérimental et art contemporain se confondent.

* La compétition Courts d’Animation, une nouvelle section dédiée aux films d’école francophones d’animation.

Depuis 2000, le festival propose au public de découvrir des créations européennes en mettant à l’honneur, par le biais de cartes blanches, panoramas et rétrospectives, les pays invités. Cette année Nice accueillera : l’Irlande, dans un programme So Irish, en partenariat avec le Festival de Cork ; la Pologne, avec une sélection guidée par le Festival de Cracovie ; et la Croatie, avec un focus concocté par le Aye Aye Film Festival de Nancy.

Parallèlement aux projections, plusieurs événements rythmeront la semaine :
* La Cérémonie d’ouverture, organisée en plein air sur le port de Nice.
* La 2ème édition de la journée Nice Short Meeting, la journée de rencontres professionnelles organisée le samedi 22 octobre au port de Nice, en partenariat avec la CCI.
* Et la Fête de Clôture, avec le Concert Cinéphile de Holden & Hannah à la Station.

La 11ème édition d'Un festival c'est trop court, le festival du court métrage de Nice se tiendra du 18 au 23 octobre 2011 dans plusieurs salles de la ville : Cinéma Rialto, Cinéma Mercury, Auditorium du M.A.M.A.C, Auditorium de la bibliothèque Louis Nucéra, L'ÉCLAT / Villa Arson, La Station, le Port de Nice.

Un festival c’est trop court
Du 18 au 23 octobre 2011
06000 Nice
Tél : 04 93 13 97 65

11/10/2011

Un festival c'est trop court ! du 18 au 23 octobre


10/10/2011

Participez au défi vidéo et musical

L'association Regard Indépendant lance aux créateurs de tout poil et de toutes plumes un défi vidéo et musical qui verra son aboutissement le jeudi 17 novembre en ouverture des 13e Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice.

 

Le principe en est simple : nous vous proposons de réaliser, avec vos propres moyens, une vidéo sur une musique originale ou non, qui vous inspire. Classique, jazz, rock ou rap, en animation ou en found footage, vous êtes complètement libres.

 

La durée est limité à 4 minutes.

 

Les vidéos seront diffusés en ouverture des Rencontres, le 17 novembre au Volume.

 

Les vidéos doivent être remisent à l'association avant le 10 novembre, sur CD-Rom, clef USB ou par transfert de fichier sur l'adresse regardindependant@gmail.com.

 

Avec la vidéo, il faudra rendre une fiche d'inscription que vous pouvez télécharger ici.

 

Chaque réalisateur est propriétaire et responsable de son œuvre et de son contenu. Regard Indépendant acquittera les droits musicaux pour la soirée de présentation.

 

Que gagne-t'on ? Le droit de proposer le prochain défi qui sera organisé en 2012 !

 

Relevez-vous le défi ? Contact : 06 23 07 83 52

09/10/2011

14 octobre : Melancholia au Mercury

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