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07/02/2015

6-13 février - Festival Cinéma Sans Frontières au Mercury

Du 6 au 13 février 2015 se tiendra au cinéma Mercury (16 place Garibaldi – Nice), le 13ème Festival annuel de l'association Cinéma Sans Frontières sur le thème : Le cinéma sens dessus dessous, quad le cinéma joue avec ses codes. Polar, western, fantastique, documentaire, découvrez la programmation complète en cliquant sur l'affiche :

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Genres, Travestissements, Transgressions

L’idée de ce festival est née d’une constatation récurrente et somme toute très simple : le cinéma n’est jamais aussi bon que lorsqu’il dépasse les codes et les genres qu’il s’est lui-même fixés. D’ailleurs, on pourrait voir toute la programmation de CSF comme un long ruban de films hors normes ou transgenres.

Dès sa naissance, le cinéma s’est défini par deux genres majeurs qui perdurent aujourd’hui : D’une part, les films des frères Lumière qui enregistrent le réel ; La sortie d’usine ou L’arrivée du train en gare de La Ciota. C’est la veine documentaire du cinéma. La réaction du public voyant pour la première fois ce train sortir à toute allure du tunnel et foncer droit sur eux est la marque première, indélébile et signifiante de la rencontre entre l’image en mouvement et l’œil humain, de l’identification immédiate du spectateur à ce qu’il regarde…

L’autre grand genre du cinéma, c’est celui des films fantastiques de Méliès, les films qui, au contraire, ne racontent pas le réel, ou qui ne le racontent pas nécessairement tel qu’il est. C’est l’immense domaine de la fiction, sous toutes ses coutures.

Mais très vite, le cinéma va dépasser les grandes catégories héritées du théâtre et décliner des variantes qui lui sont propres et qui iront en se diversifiant au fil de son histoire.

L’idée du festival n’est évidemment pas de dresser un panorama complet de tous ces genres et sous-genres, mais de faire ressortir la puissance d’invention et de créativité qui surgit chez les grands cinéastes – et parfois chez les moins grands – dès lors qu’ils s’approprient les codes caractéristiques de chacun de ces genres.

La notion même de codification comporte en soi le risque du formatage et de l’étiolement, Ça donne le film prévisible, les scénarios balisés, le montage atone, la bande-son qui fait office de surligneur, les dialogues plats, le jeu d’acteurs standardisé, etc... Des kilomètres de pellicule hier, des millions de Giga aujourd’hui, sont consacrés à cette cause du plat réchauffé, de la charentaise et du parcours fléché où le spectateur est censé se sentir chez lui. Comme si c’était ce qu’on demandait au cinéma ! Bien au contraire, le bon film, le vrai, celui qui nous reste, est celui qui arrive à nous surprendre avec ce que pourtant nous connaissons déjà. En effet, le cinéma, même s’il n’a guère plus de 100 ans d’existence, s’est emparé instantanément, et peut-être plus profondément que toutes les autres formes d’art, de notre imaginaire, il le peuple, il le colonise même avec une facilité déconcertante. À ce propos la manière dont le cinéma est advenu au monde est en soi significative.

Attraction foraine à ses débuts, divertissement immédiatement accessible, le cinéma commence par gagner ceux qu’on appellerait aujourd’hui les 99 %. De fait, il n’obtiendra que bien plus tard ses lettres de noblesse. C’est sans doute ce qui explique que nous soyons si nombreux à avoir intériorisé, sans même y prêter jamais vraiment attention, tous ces personnages-clefs, qui sont autant d’archétypes, du film noir ou du western, du film d’aventures ou du film-catastrophe, de la comédie musicale ou du polar...

Gangster au grand cœur ou brute épaisse, flic véreux ou détective irréprochable, femme fatale ou tendre ingénue, pistolero romantique ou marginal meurtri, jeune garce sans scrupule ou vielle dame complètement frappadingue, nous portons en nous toute une « comédie humaine » qui nous vient du cinéma, une galerie de portraits qui se constitue par résonance avec ce je-ne-sais-quoi de profondément intime auquel s’adresse le cinéma.

C’est précisément parce que nous avons absorbé si intimement tous ces personnages, toutes ces péripéties, tous ces passages obligés que nous détectons immédiatement ce qui s’en écarte pour nous entraîner ailleurs. Il suffit parfois d’un pas de côté pour nous désorienter, piquer notre curiosité, laver notre regard de tout ce qu’il connaît et le renouveler… Nous sommes les premiers surpris par cette opération de passe-passe et une bonne partie de notre ravissement vient de ce décalage, de ce va- et- vient constant entre ce à quoi nous nous attendions et ce qui nous est servi en échange. À condition bien sûr de ne pas se faire avoir au change, car sinon la frustration s’avère vite totalement insupportable ! Tout le travail sur le genre s’effectue dans cet entre-deux. De la dérision à l’ironie, du détournement au renversement, le tragique se change en burlesque, le sublime en trivial, le terrible en drolatique et vice versa. Toutes les combinaisons sont possibles et n’en finiront jamais d’être explorées.

Dans notre modeste sélection, nous avons, nous aussi, voulu vous surprendre par des associations improbables, des rencontres inédites, des télescopages dépaysants, car qui a jamais vu un shérif qui carbure à la limonade, un simple pneu qui se prend pour un serial killer, ou encore un faussaire qui dit la vérité ?... Mais au fond, pourquoi pas ? Au nom de quoi cela serait-il impossible ? Le réalisme, la vraisemblance, l’usage, la convention ? Foin de tout cela, il suffit que le réalisateur soit suffisamment convaincant pour vaincre nos éventuelles résistances et nous entraîner dans son monde qui est, alors, forcément, aussi un peu/ beaucoup/ passionnément/ à la folie le nôtre. À ce moment-là, par cette alchimie qui lui est propre, le cinéma nous découvre à nous-même et il ne tient plus qu’à nous de plonger non seulement dans l’inattendu du cinéma, dans l’inespéré du réel, mais dans notre propre inconnu.

C’est là, à n’en pas douter, la grande affaire du cinéma d’être à la fois la représentation mimétique du réel – au-delà de tous les autres arts – et probablement de ce fait, le miroir d’un ailleurs insoupçonné.

Josiane Scoleri

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Dans ce cadre, Regard Indépendant s'associe à l'évènement en présentant le très original western Tchécoslovaque Joe Limonade (Limonádový Joe aneb Koňská opera) réalisé par Oldřich Lipský en 1964 et sorti en France l'année suivante. L'occasion pour le président de Regard Indépendant de revenir sur ce genre majeur du cinéma.

11/10/2014

13-19 octobre - Un festival c'est trop court !

Du 13 au 19 octobre se tiendra la 14e édition d'Un festival c'est trop court !, le festival européen du court métrage de Nice organisé par nos amis de l'association Héliotrope.

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L'éditorial de Laurent Trémeau, Directeur artistique

Outre les 93 films répartis dans les 4 compétitions, le pays invité (La Roumanie), les programmes thématiques récurrents (Scopitone, documentaire…), les séances spéciales (Prix SNCF du Polar) et la journée professionnelle Nice Short Meeting, Un festival c’est trop court présente cette année FINAL CUT, un large panorama consacré au MONTAGE, dont la bande annonce 2014 esquisse une introduction à travers « la femme à la caméra ».

Élément essentiel du langage cinématographique, le montage constitue aussi la matière la plus spécifique du cinéma. Car, si écrire, dessiner, jouer, réaliser des prises de vues ou de son, apparaissent aussi dans la littérature, le théâtre, la photographie : pratiquer l’art du montage relève bien du seul cinéma.

En 1929, Dziga Vertov l’annonce en ouverture de L’homme à la caméra : il cherche « à créer un langage cinématographique absolu et universel, libéré du langage théâtral et littéraire ».
Des débuts du cinéma et aux films sans montage, à l’avènement des fondus enchainés dans le cinéma classique hollywoodien, jusqu’aux jump cuts de Godard sur la nuque de Jean Seberg dans A bout de souffle, le montage a traversé l’histoire du cinéma, avec ses techniques, ses évolutions et ses théoriciens.

40 ans après les théories et les œuvres des formalistes russes Eisenstein, Koulechov et Vertov,l’arménien Artavazd Pelechian reprend le flambeau de l’avant-garde « J’essaie de faire un cinéma pur qui ne doive rien aux autres arts ». Un de ses courts métrages réalisé en 1967, Au début, sera « joué » en ciné concert par les musiciens d’OeilRoulette.

Final Cut, expression désignant le montage final d’un film, décrit l’enjeu de pouvoir et de décision finale entre le producteur et le réalisateur. « Le seul moment où l’on peut exercer un contrôle sur un film est le montage (…). C’est toute l’éloquence du cinéma que l’on fabrique dans la salle de montage. » dit Orson Welles.

Le montage : troisième œil ou troisième main ?

Après l’écriture et le tournage, refait-on le film une troisième fois ? Le monteur devient-il un scénariste, doublé d’un réalisateur, ou un ultime collaborateur pour l’auteur ?

La masterclass avec un des plus grands monteurs français Yann Dedet, permettra d’aborder la question du montage au cinéma, sa technique et sa pratique, mais aussi et surtout de décrire les relations entre le réalisateur et le monteur.

Final cut aborde aussi le cinéma expérimental avec les films de found footage qui puisent leurs images dans des œuvres existantes, on y retrouvera notamment un des derniers films du maitre allemand Matthias Müller.

Final Cut ne pouvait faire l’impasse sur l’une de ses inspirations majeures, Blow-up, le web-magazine d’ARTE dirigé par Luc Lagier qui n’en finit plus de tisser des liens entre les perles du 7ème Art, dans des montages habiles (Recut), autour de thématiques insolites (Tennis et cinéma).

Enfin, l’art du détournement et de l’œuvre revisitée, explose sous toutes ses formes grâce à l’outil informatique…connecté. Le « mash-up », le sample visuel, remixe tout : films, séries, pubs, clips. Il est un film fondateur devenu culte, après Debord mais avant les faiseurs d’Internet : La classe américaine / Le grand détournement réalisé en 1993 par Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette.

Qui n’a jamais rêvé de voir sur grand écran, George Abitbol, l’homme le plus classe du monde ?

Le site du festival

15/03/2013

22 mars - Cocteau à Beaulieu sur mer

Vendredi 22 mars à 20h00, Chapelle Sancta Maria di Olivoà Beaulieu-sur-Mer
« Il faut bien s'amuser un peu (et tirer la langue à la mort) » Jean Cocteau

Maîtres de cérémonie, Olivier Debos et Sabine Venaruzzo

Méduses poétiques, Les Charivariens

Concert dessiné, Simon Leopold et Jean-Baptiste Zellal (C.N.R.R. de Nice)

Récital, Amy Blake (soprano) et Dominique Glory (pianiste)

Projection “Le sang d'un poète” de Jean Cocteau (1930) par Lo Peohl Cinéma - projection 16mm

Plein tarif : 15€ > Tarif réduit : 12€ > Résa & Infos : 04 93 01 02 21

 

29/10/2011

16 novembre - Tous au Larzac au Rialto

Mercredi 16 novembre, 20h00 – au Rialto - 4 rue de Rivoli-Nice
Avant-première en présence du réalisateur Christian Rouaud , en partenariat avec Cinéactions.


Tous au Larzac, de Christian Rouaud (France,2011).
Festival de Cannes – hors compétition.


Ce n'est qu'un plateau isolé du sud du Massif central. Dispersées sur ce territoire ingrat, une centaine de familles. Des activistes ? Que non ! Des agriculteurs très croyants et conservateurs, plutôt hostiles à l'égard de Mai 68. Comment ce petit groupe d'hommes, a priori peu disposés à la lutte contre l'Etat, a-t-il pu tenir tête aux pouvoirs publics pendant une décennie ? Le film retrace l'histoire de ces luttes fondatrices, qui continuent à structurer la mouvance écologiste.

 

 

Tarifs habituels : réduit 6€ - Plein 7,50 €
Infos  Teresa 06 03 51 28 32  ou 04 93 13 49 78

Infos page cinema du site AdN
http://www.adn-nice.org/cineindex.htm

24/08/2011

10 septembre - Sur la route du cinéma (dans le Var)

Pour célébrer ses 20 ans d’existence, la Commission du Film du Var organise le samedi 10 septembre 2011 un itinéraire « Sur la Route du cinéma ».

Le parcours sillonnera une partie du département, sur les traces de décors réels et exclusifs de films cinéma réalisés dans le Var. Les participants (50 voitures maximum) sont des journalistes, membres d’institutions et de collectivités, cinéphiles, professionnels de l’industrie cinématographique et grand public.

Une façon aussi de relier le Cinéma et le Tourisme et de souligner l’importance de la mise en valeur d’un territoire par le biais du cinéma qui engendre, lors de chaque tournage, des retombées médiatiques et financières.

 

Le rôle de la Commission du Film du Var est de faire la promotion du Var auprès des professionnels de l’industrie cinématographique dans le but de faire venir les tournages et de faciliter la préparation des productions. Cela dans le but de générer des retombées et économiques et médiatiques et d’accroitre ainsi la notoriété du département du Var en France et à l’étranger. La Commission du Film du Var, pionnière des bureaux d’accueil de tournage en France est membre de Film France, membre fondateur de l’European Film Commission network (EuFCN) et membre du réseau Association of Film Commissioners International (A.F.C.I.). Ses principaux partenaires sont le Conseil général du Var, la Chambre de Commerce et d’Industrie du Var, la région Provence Alpes Côte d’Azur, la ville de Saint-Tropez et les partenaires du Guide de production.

 

Présentation de l’itinéraire Parcours du Cinéma

« Sur la route du cinéma dans le Var »

Samedi 10 septembre 2011


Départ de Brignoles entre 9h00 et 11h00 – Provence Verte

La Gare de Brignoles, repérée par la Commission du Film du  Var, a séduit le réalisateur Daniel Auteuil pour filmer des séquences de « La Fille du Puisatier ». Dans le film, il s’agit de la gare de Salon de Provence, le Var a donc servi « de doublure de territoire ». La comédienne principale, suite au tournage a quitté la Provence Verte pour Hawaï pour son rôle dans « Le Pirate des Caraïbes  IV ».

 

1ère étape – Le Castellet village

Sur les traces du film préféré d’Orson Welles « La Femme du Boulanger » réalisé par Marcel Pagnol. En parlant de Raimu, il disait que c’était le plus grand acteur de tous les temps. Vous allez découvrir les lieux de tournages au détour des ruelles (La Boulangerie, Le Café « Le Cercle Républicain », la place de l’Eglise…). Le Castellet et ses environs, toujours très courtisés par les cinéastes, a reçu en 2010 « Les Tuche » d’Olivier Baroux et de nombreux films publicitaires.

 

2ème étape Sanary sur Mer

Ouverture exceptionnelle pour la première fois au public « d’un studio à ciel ouvert »,  la villa La Sanarytaine qui a reçu de nombreux tournages. De «  Naïs » avec Fernandel en 1945 à « Les Tuche » d’Olivier Baroux en octobre 2010, sortie nationale du film en juillet 2011, ce décor a également accueilli le film d’Isabelle Mergaux « Enfin Veuve » avec Michèle Laroque, qui a été un succès lors de sa sortie en 2006 avec plus de deux millions d’entrées.

 

3ème étape Villa Rocabella Le Pradet

Villa Belle Epoque de la Côte d’Azur, entièrement rénové par un grand décorateur. Elle a accueilli  de nombreux films, « La Femme et le Pantin » avec Roger Hanin (remake du célèbre film avec Brigitte Bardot), le long métrage « Le Mac » avec José Garcia, ainsi que de nombreux films publicitaires et récemment en mars 2011 une émission TV néerlandaise. Son jardin magnifique accède directement à la mer.

 

4éme étape et arrivée Gassin – Golfe de Saint-Tropez

Rencontre de Jardin sur le thème du Cinéma organisé par Derbez

Située au cœur du Golfe de Saint-Tropez, lieu mythique de nombreux tournages dans l’histoire du cinéma français. Les tournages sont toujours d’actualité, en mars 2011, Claude Rich était de retour, avec Franck Dubosc, dans un long-métrage « 10 jours en or » dont la sortie est prévue en décembre 2011. Gérard Oury a tourné son dernier long-métrage juste à côté de l’arrivée du Parcours du Cinéma sur un grand parking commercial. Sans oublier Claude Chabrol qui tourna aux Marines de Gassin « Les Biches » avec Jean-Louis Trintignant…

 

Contact : Sandrine Delahaye 04 94 69 26 30

filmduvar@orange.fr

10/02/2011

12 février - Cinenasty au Mercury

 

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Ce samedi 12 février 2011 c'est le lancement d'un nouveau rendez-vous dédié aux films fantastiques sur Nice avec Cinenasty (le ciné-club).

Chaque mois au cinéma Mercury (16 place Garibaldi), l'association Les Méduses propose une double séance de films cultes ponctuée d'animations volubiles. Les films sont présentés en 35mm et en vostfr.

Et pour bien démarrer, vous êtes invités à venir redécouvrir deux films cultes : tout d'abord Gremlins (1984) de Joe Dante suivi par Rosemary's baby (1968) de Roman Polanski.

Un point de restauration sera mis en place dans le hall du mercury.

Tarifs:
La Séance: 5 euros
sur présentation de la carte adhérent
La Séance sans carte: 7,5 euros (!)

Carte adhérent: 1 euro (valable 1 an, donne droit au tarif réduit sur toutes les séances organisées par l'association Les Méduses)

 

03/02/2011

7 février - Le Ciné-Café au Felix Faure

Le Ciné-Café de Nice s’installe au Restaurant Félix faure (Avenue du même nom) à partir de sa séance de Février. Les habitués (et les autres) se retrouveront donc le lundi 7 février dans un cadre renouvelé offrant de nouveaux avantages en termes de confort et de tranquillité. Les sommaires ne changent pas :

  • Art Dumont’age : quelques images choisies par Alain
  • Finalisation des Goélands et débat sur les grandes tendances cinématographiques de l’année écoulée et les œuvres attendues dans les mois prochains
  • Débat libre ouvert et vigoureux sur les films à l’affiche dans notre ville

 

19h00 22h00

Brasserie Félix Faure

12 Avenue Félix Faure

Entrée : une consommation obligatoire

Sortie : un repas facultatif

 

Contact 06.98.97.63.31. (Daniel)

30/01/2011

4 au 11 février - Festival Double(s) au Mercury

Le festival annuel de Cinéma sans Frontières se déroulera au cinéma Mercury (16, place Garibaldi, Nice) du 04 au 11 février (inclus) et sera organisé autour du thème du DOUBLE(S).

Affiche_Festival_2011.jpg

Des présentations complètes des films sont consultables sur le site de CSF

Chaque film est précédé d’une présentation et suivi d’une discussion avec le public. Tous les films en version originale sous-titrée.

Présentations et animations des débats :

Hervé Goitschel (HG), Vincent Jourdan (VJ), Bruno Precioso (BP) Josiane Scoleri (JS) et Philippe Serve (PS)

 

Vendredi 04 - 20h 30

Glen ou Glenda (PS) - Ed Wood - Etats-Unis - 1953 – 1h07

 

Samedi 05 - 20h 30

Familia (JS) Fernando León de Aranoa - Esp-Port-Fra -1997 - 1h40

 

Dimanche 06 – 17h

L'invasion des profanateurs de sépulture (VJ) - Don Siegel - Etats-Unis - 1956 - 1h20

 

Lundi 07 – 20h 30

Je suis un cyborg (PS) - Park Chan-wook - Corée du Sud - 2006 - 1h45

 

Mardi 08 – 20h30

Mifune Dogme III (JS) - Soren Kragh-Jacobsen - Danemark- 1999 - 1h38

 

Mercredi 09 - 20h30

L’autre (HG) - Patrick-Mario Bernard et Pierre Trividic -France - 2008 - 1h37

 

Jeudi 10 - 20h 30

Double take (BP) - Johan Grimonprez - Belgique - 2009 - 1h20

 

Vendredi 11 - 20h 30

Le visage d'un autre (PS) - Hiroshi Teshigahara - Japon - 1966 - 2h02

 

Entrées : 7,50 € (non adhérents) - 5,00 € (adhérents CSF et Cinémathèque).
Toutes les informations sur CSF :
http://cinemasansfrontieres.free.fr
Contact mail CSF : cinemasansfrontieres@free.fr
Contact téléphonique CSF : 04 93 52 31 29 / 06 64 88 58 15

24/11/2010

26 novembre - The host au Mercury

Cinéma sans Frontières présente le vendredi 26 novembre à 20h30 au cinéma Mercury, 16 Place Garibaldi – Nice, dans le cadre de son Regard mensuel sur le cinéma coréen The host de Bong Joon-ho (Corée du Sud , 2006, 1h59.

The_Host_Affiche_liste.jpg

Film de "monstre" ?
Il y en a effectivement un et même pas mal d’autres, ceux-là pourtant bien humains et responsables...

Film politique ?
Oui, l’un des plus pertinents et réussis du cinéma coréen des dix dernières années...

Film sociologique ?
Oui, via l’étude d’une famille modeste de losers qui resserrent les rangs pour sauver la plus faible (ou la plus forte ?) d’entre eux...

Film dramatique ?
Oui, forcément...

Film comique ?
Oui, résolument...

Film spectaculaire ?
Oui, sans que jamais pour autant la forme n’existe que pour elle-même et prenne le pas sur le fond...

Film d’auteur ?
Oui, du cinéaste coréen le plus excitant du moment, à qui l’on doit déjà Barking Dogs Never Bite (2000), Memories For Murder  (2004) et Mother  (2010, présenté la saison dernière par CSF).

 

"Chaque plan est une invitation." (Les Cahiers du Cinéma).
"Une mise en scène époustouflante." (Le Monde)
"Epopée politique d'une famille partie à la recherche d'un enfant enlevé par un monstre. Un éblouissement." (Les Inrockuptibles)
"Tout autant une satire politique, un mélo familial, un plaidoyer écologiste ou une comédie qu'un film de genre prenant d'étonnantes libertés avec les conventions hollywoodiennes." (Libération)
"On tremble plus d'une fois, on reste aussi scotché par l'imagination délirante à l'oeuvre ici." (Télérama)

 

Présentation du film et animation du débat : Philippe Serve.

 

Entrées : 7,50 € (non adhérents) - 5,00 € (adhérents CSF et Cinémathèque).

Adhésion : 20 € pour un an (365 jours) - 15 € pour les étudiants. Donne droit au tarif réduit à toutes les manifestations de CSF, ainsi qu'à toutes les séances du Mercury (non CSF) et à l'accès (gratuit) au CinémAtelier.
Toutes les informations sur CSF :
http://cinemasansfrontieres.free.fr
Contact mail CSF : cinemasansfrontieres@free.fr
Contact téléphonique CSF : 04 93 52 31 29 / 06 64 88 58 15

27/10/2010

18 au 21 novembre - Les 12es Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

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Les 12emes Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice sous le signe du super 8.

 

La 12e édition des Rencontres Cinéma et Vidéo s'ouvrira le jeudi 18 novembre 2010 au Volume et se poursuivra jusqu'au dimanche 21 novembre au MUSEAAV et au cinéma Mercury, à Nice.

 

Pendant ces quatre journées, la production régionale et indépendante sera mise à l'honneur à travers un format original qui fait un retour en force : le film super 8. Au programme, de nombreux courts métrages, des rencontres avec les auteurs, de la musique, des cartes blanches à des associations partenaires, et la désormais traditionnelle nuit du cinéma qui sera consacrée au péplum.

 

L’objectif de ce rendez-vous reste de permettre au public curieux de découvrir la production cinématographique régionale. Le public pourra ainsi découvrir les œuvres de Guillaume Levil, Loïc Nicoloff, Coralie Prosper, Philippe Cardillo, David Viellefon et bien d'autres encore. Nous accueillerons également Gérard Courant, cinéaste atypique adepte du super 8 pour une carte blanche comprenant quelques-uns de ses fameux Cinématons, portraits filmés de gens illustres et moins illustres.

 

L’association Regard Indépendant, organisatrice de cet événement, présentera à cette occasion sa nouvelle collection de super 8 tourné-montés réalisés sur le thème La première fois. Cette année, quatre réalisateurs allemands de Köln (Cologne - Allemagne) ont été invités à se joindre aux créateurs de la région. Une douzaine de films devraient être présentés en compagnie de la traditionnelle sélection des Straight 8 anglais et d'une carte blanche au festival tourné-monté de Strasbourg.

 

La nuit du cinéma assouvira nos pulsions cinéphiles avec les courts métrages proposés par Héliotrope et deux longs métrages mythiques, deux péplums, Jason et les argonautes de Don Chaffey avec les créatures fantastiques de Ray Harryhausen et le délirant Monty Python, la vie de Brian, relecture décalée de la vie du Christ.

 

Cette édition poursuivra l'exploration des interactions entre images et musique avec les groupes Outcrossed, Les arbres qui marchent et Les Veines pour trois ciné-concerts en ouverture au Volume et au MUSEAAV.

 

Nous vous convions à découvrir le détail de cette 12e édition sur notre site : www.regardindependant.com

 

Visuel : Illys Poulpfiction


Renseignements pour le public : 06 23 07 83 52

regardindependant@gmail.com

26/08/2010

31 août - Cinéma avec la rentrée d'ADN au Rialto

Mardi 31 août 20 h au Rialto

4 rue de Rivoli – Nice

AdN soutient l’avant première du film Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois.

Grand prix du jury et de l'éducation nationale à Cannes.

 


Un monastère perché dans les montagnes du Maghreb, dans les années 1990. Huit moines chrétiens français vivent en harmonie avec leurs frères musulmans. Quand une équipe de travailleurs étrangers est massacrée par un groupe islamiste, la terreur s’installe dans la région. L'armée propose une protection aux moines, mais ceux-ci refusent. Doivent-ils partir ? Malgré les menaces grandissantes qui les entourent, la décision des moines de rester coûte que coûte, se concrétise jour après jour…


"On  y parle de choses assez rares, comme le sacrifice, le courage ou le plaidoyer pour l’entente entre les peuples" (Michael Lonsdale qui joue un des moines assassiné à Tibhirine en 1996).


Tarifs habituels

 

ADN - Association pour la démocratie à Nice
http://www.adn-nice.org
adn@adn-nice.org
06.03.51.28.32 - 04.93.13.49.78

16/06/2010

18 juin - Le premier Moretti au Mercury

Cinéma sans frontières présente le vendredi 18 juin à 20h30 Io Sono un Autarchico (Je suis un autarcique - Italie, 1976, 1h35, vostf) premier long métrage de Nanni Moretti. Présentation et animation du débat avec le public par Josiane Scoleri.

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Michele, abandonné par sa femme, vit à Rome avec son fils dans un petit appartement. Il lui reste ses amis et parmi eux, Fabio, qui les persuade de monter un nouveau spectacle théâtral d'avant-garde. Afin de leur faire atteindre la quintessence de l'art théâtral, Fabio décide de soumettre le groupe à un entraînement psychique et physique extrême. Ses discours abscons mêlant Sade, la politique, le Living Theater, Foucault laissent son entourage dubitatif. Fabio cherche le soutien de professionnels et tente par tous les moyens de séduire un critique théâtral renommé. Il prend aussi l'initiative de faire participer le public à sa création... Michele, de son côté, n'arrive pas à retrouver l'âme-soeur...

Le premier long-métrage d'un jeune réalisateur (23 ans) qui, 25 ans plus tard, remportera la Palme d'Or à Cannes avec La Chambre du fils et s'affirmera comme le meilleur et le plus populaire des cinéastes italiens actuels.

 

Toutes les informations sur le site de CSF

11/05/2010

12 au 24 mai - Festival de Cannes

Cannes 2010.jpg

25/03/2010

27 et 28 mars - Cinémator à Carros

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24/02/2010

Appel à courts métrages : festival Cinémator

Cinémator

Appel à candidatures

 

Cinéactions organise 1er festival de courts métrages grand public (réservé aux non professionnels) les samedi 27 et dimanche 28 mars 2010 à Carros, en partenariat avec la ville de Carros, le Département, la Région et l’association de BD Kaizoku-Logos, DK Productions.

 

4 sections sont prévues : grand public, étudiants et lycéens de formations de cinéma, films d’animation et flash, films réalisés par téléphone portable.

 

Pour chaque section, les films sélectionnés seront diffusés dans le cadre d’un programmes d’une heure trente environ. Les films ne devront pas dépasser une durée de 13 minutes (hors générique).

 

Le concours est réservé aux non professionnels résidants en PACA.

 

Un jury composé de cinéphiles et de personnalités désignera les lauréats.

 

4 prix d’une valeur de 200 euros chacun récompenseront les meilleurs films dans chaque catégorie.

 

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Samedi 27 mars sera consacré aux films d’animation. Pour compléter la programmation un festival de BD est prévu dans le hall de la salle Juliette Gréco. En soirée à 20 H 30 il est également prévu la diffusion d’un long métrage d’animation en avant première.

 

Vous avez ou vous comptez réaliser un court métrage de fiction ou un documentaire. Vous pouvez dès à présent présenter votre candidature en vous inscrivant à partir du site.

 

www.cinemator.cineactions.com.

Plus de renseignement : contacts@cineactions.com

Tel. 06 63 49 46 81

Clôture des inscriptions le 8 mars 2010.