Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/10/2010

1er octobre : Nortedao au Mercury

Vendredi 1er octobre – 20h30, au cinéma Mercury (16 Place Garibaldi – Nice), Cinéma Sans Frontières propose une soirée débat avec Norteado, un film de Rigoberto Perezcano.

Présentation du film et animation du débat : Philippe Serve.

 

Andres arrive à la frontière mexicaine afin de la traverser pour se rendre aux Etats-Unis. Entre chacune de ses tentatives, il découvre la ville de Tijuana et ses nombreux démons. Comme il y passe la plupart de son temps à attendre, Andres se met à penser à ceux qu'il a laissés derrière lui, mais aussi à ceux qu'il vient de rencontrer : Cata, Ela et Asensio.

noname.jpg


A travers ce film, le réalisateur Rigoberto Perezcano  a voulu traiter d'un sujet connu de tous, l'immigration clandestine du Mexique vers les Etats-Unis, au moyen d'une mise en perspective où le drame de l'endroit et des gens aimés coexiste avec la joie de l'aventure propre, engendrée par le dépassement de chacun vers des endroits et des sensations qu'ils n'auraient pu imaginer.

 

"Norteado brode une fable drôle et aussi délicate que la musique de Debussy qui la berce, sans perdre pour autant de vue la monstrueuse ineptie de la situation."  (Le Monde).



"Le réalisateur maintient un bel équilibre entre l'intime et le sociétal, une juste tension entre les relations humaines, sexuelles, sentimentales, et le contexte politique de cette zone frontière "nord-sud". (Les Inrockuptibles)



"Rigoberto Pérezcano s'est inspiré de son expérience de documentariste, signant un film mêlant adroitement les prises de vue de clandestins rivalisant de ruse et de courage pour passer de l'autre côté, et la description intimiste d'un petit monde qui, à bien des égards, représente l'obsession humiliante de tout un pays." (Libération)


"La profondeur que le film déploie et le respect qu'il témoigne pour ses personnages ne l'empêchent pas de prendre clairement la direction de la satire et de la comédie. "(Les Cahiers du Cinéma)

Les commentaires sont fermés.